Edith…Une vie de frustration….(suite 2)

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Edith…Une vie de frustration….(suite 2)                      Rentré du travail, je prenais une douche, me changeais et comme convenu le matin, j’appelais Edith.Cinq minutes plus tard, je poussais la porte du hall d’entrée de son immeuble, elle était là, je la vis de dos, montée sur des escarpins, vêtue d’une jupette en jeans et d’un gilet sans manche en jeans.A mon bonjour Edith, elle se retourna, m’embrassa et me prit la main, nous traversâmes le hall, les talons hauts claquaient sur le sol carrelé, après avoir descendu trois marches elle ouvrit une porte, elle donnait sur un long couloir éclairé uniquement par les blocs de sécurité placés en hauteur.Arrivés devant la porte de sa cave, elle l’ouvrit puis contre toute attente se jeta sur moi, m’embrassa, sa langue chercha la mienne, nos langues dansèrent, nos salives se mélangèrent, ses mains parcoururent mon torse, une main descendit flatter mon entre jambe puis reprenant notre souffle elle m’expliqua qu’elle avait pensé à moi toute la journée, qu’elle s’était donnée du plaisir en pensant aux situations vécues pendant le week-end, aux fantasmes qu’elle allait réaliser, qu’elle me faisait entièrement confiance et prête à me suivre les yeux fermés.Je lui demandais si elle était prête à tout assumer, elle me répondit que oui, alors je la fit se déshabiller, tout en me regardant bahis siteleri elle tira sur le gilet, les pressions sautèrent révélant ses superbes mamelles, elle fit descendre la jupette jusqu’aux chevilles et l’enjamba, j’allumais la lumière et vêtue de ses escarpins je la fit déambuler sur plusieurs dizaines de mètres dans ce long couloir et toujours ce claquement excitant des talons sur le ciment, en lui ordonnant de faire rouler son cul, elle guettait le moindre bruit mais elle s’exécuta sans émettre la moindres objections.Revenue à mes cotés, je la plaquais contre un des mur, une main sur chatte m’indiqua que la situation l’excitait, je lui posais la question, elle me répondit par oui, je plaçais deux doigts trempés de sa mouille devant sa bouche, sans rien lui demander, elle ouvrit sa bouche et lécha mes doigts consciencieusement, elle m’avoua qu’elle faisait cela quand elle se caressait et qu’elle aimait bien son goût. Sur mon ordre elle se mit à genoux et pris ma queue en bouche, elle caressa mes couilles, les lécha, pas un centimètre de mon membre n’échappa à sa langue et sans coups de dents, rien à voir avec sa première fellation, je su qu’elle s’était entrainée dans la journée sur le concombre dont elle s’était servi pour assouvir son excitation.Je la fit se relever en la tenant par les cheveux, “Edith canlı bahis siteleri donne moi ta bouche” elle me la donna, “Donne moi ta langue” elle ouvrit sa bouche et sortit sa langue, je la léchais, l’aspirais, une main pinçais un téton, l’autre main caressait son fruit mur qui coulait, Edith émettait déjà des petits bruits de satisfaction, “Tu aimes” ” Ouiiii, j’en peux plus d’attendre je te veux en moi, je pense à ça depuis ce matin”. Je voulais la repousser dans ses derniers retranchements, lui faire dire les mots que son éducation lui empêchait de dire.Après lui avoir dit qu’il était impossible que j’entre en elle de part ma taille, je lui demandais se qu’elle voulait, “je veux ton membre”, je lui demandais comment dans ses fantasmes elle appelait le sexe masculin, le sexe féminin, après de longues secondes, elle ferma les yeux prit un inspiration, “une bite, une queue, une chatte, une moule, un garage à bites” et comment dans tes fantasmes appelles tu une femme qui aime le sexe, une femme qui à beaucoup de fantasmes mais qui veut les réaliser, une femme qui baise avec l’ex de sa fille, toujours les yeux clos elle prit une nouvelle et profonde inspiration, ” une salope, une catin, une putain, une pute”, quand je lui demandais si cela avait été si dur que cela de dire ces mots, elle me répondit que non mais canlı bahis qu’elle n’osait pas.Un bruit, je ramassais les vêtements nous nous réfugiâmes dans la cave, je fermais la porte et dans le noir total, sa bouche contre mon oreille elle susurra, “je suis une salope, une pute et je veux la queue de l’ex de ma fille dans ma chatte” à son oreille je répondis “bien la petite bourgeoise se lâche, j’adore”, elle sur la réserve malgré tout était libérée d’un joug.Tout étant redevenu silencieux, sortis de la cave, les bras en appuie contre le mur, elle écarta les jambes, je fis coulisser ma bite contre sa chatte trempée et la pénétra d’un coup j’entendis un “Hmmm, enfin”, sans aucun ménagement je la prenais tout en caressant son clito, pinçant ses tétons sous ces assauts puissants et ces caresses, elle jouie à de nombreuses reprises se mordant le bras pour étouffer ses cris.Ma queue sortit de sa chatte, elle se pencha pour la prendre en bouche et me faire jouir, je lui indiqua ” Non que la toilette, j’ai besoin de recharger ma réserve de foutre”.Elle se rhabilla, sur ma demande elle ne referma pas son gilet, je lui demandais si elle avait aimé la réalisation de son premier fantasme, elle me répondit ” Encore bien mieux que ce que j’avais imaginé, encore plus pute” puis elle ajouta ” Ce n’était pas mon premier fantasme, c’était toi mon premier fantasme” et ” Je me sens légère, je me sens bien”Nous sortîmes du couloir pour revenir dans le hall, personne, c’est les mamelles sorties et la jupette sur les reins qu’elle remonta en ma compagnie à son appartement.

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