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Babes

Fat ale femmeJe me souviens de ce soir d’été. La saison tirait à sa fin. Chacun envisageait dans son coin la rentrée. Chacun morose évaluait qu’il n’avait tiré tout le parti de ses jours de congé. Ces jours filaient et emmenaient notre vie vers son terme inéluctable. Nous n’avions pas d’excuse pour être malheureux. Moi-même rongeais-je mon frein ce soir-là. J’étais depuis un an célibataire et ce délai déjà me pesait. Les copains pour la plupart mariés m’enviaient pourtant. Il ne pouvait croire que je dédaignas toutes ces femmes draguées et ramenées chaque soir dans mon lit.En cette côte d’azur, la pêche avait été aisée. Cela avait été simple et déprimant. Don Juan y aurait perdu son latin. J’avais l’impression vague qu’elles se jetaient toutes à ma tête. Tout benêt autour de moi y aurait réussi de même. Une des garces m’avouant qu’elle escomptait bien durant une semaine se taper au moi un mâle par jour. Elle assumait sans vergogne ce qu’elle baptisait son appétit sexuel. Elle excluait d’emblée le timide et l’intello. Tous ces gens empêchés qui vous renvoient à votre mal d’être. Elle allait donc vers les sommaires. Ceux qui ont une bite à la place du cerveau.Il n’est pas sure que dans ma démarche je fus plus raffiné. Il y avait dans cette période quelque chose de grotesque et de funeste. L’urgence nous faisant accepter n’importe quoi. J’eus plus d’une fois une de ces créatures prises de boisson que je détournais dans façon dans mon lit et qu’au matin je découvrais du coup bien dégrisée, le regard triste comme frappé de stupeur. Pris de gêne, je m’en excusais. La créature souvent refusait que je la raccompagnas, préférant un taxi. Ce jeu de rôle minable me confortait à changer de vie. Je voulais échapper à ce branle du Diable.J’en étais à ces profondes réflexions lorsque je suivis jusqu’ici une idiote attrapée dans un bar et qui connaissait le maître de cette maison, grande propriété jouxtant la mer dont on entendait dans le noir la triste rumeur. L’idiote avait tôt disparu au bras d’un type aussi peu ragoûtant que moi. Je n’excluais pas qu’il pourrait la sauter quelque part. Il m’en avait en sorte délivré. Je lui en su gré. Il y avait ce soir-là des femmes remarquables de beauté. Plus en forme et motivé j’eus pu faire mes courses mais le ressort décidément était cassé. Je regardais ma montre n’osant m’enfuir si tôt.Je ne sais pourquoi le maître de maison me prit en sympathie venant discourir un temps. Nous parlâmes théâtre et opéra. Il était désolé que je dus retourner dès le lendemain sur Paris car il m’aurait volontiers dégoté une place de concert. Il m’enjoignit de revenir le voir l’année suivante.Il m’amena à un groupe dont je sus qu’il prisait l’amitié. Il croyait devoir m’honorer. Il y avait là trois couples. Mon attention se porta finalement à une jeune femme brune qui manifestement s’embêtait. Presqu’autant que moi dirais-je. Elle ne daigna pourtant pas me regarder ni me répondre.En fait elle était tout autant occupé à regarder l’écran d’un téléphone y tapant des SMS que je concevais stupides et ineptes. Il m’effleurât qu’elle devait échanger avec un amant au su de tous dont son mari qui flegmatiquement souriait sirotant à côté d’elle. N’était-ce pas là une vignette éternelle du charme discret de la bourgeoisie ? On eût dit une séance d’un film d’Antonionni.Rassurez-vous je n’avais tekirdağ escort pas le charme de Marcello. Jeanne Moreau ou Monica Vitti semblant n’être pas de la partie. La brune jolie ne m’en intriguait pas moins devenant comme un point fixe.Peut-être devais-je parler plus de charme que de beauté à son endroit. Je vis en un instant qu’elle était l’archétype des ces femmes fatales pour qui on se damne. Je reconnus assez vite cette douleur au fond du cœur. Cette souffrance qu’on assimile bêtement à l’amour. Je savais d’instinct qu’il fallait fuir ce genre d’a****l. Son mari était à ses côtés comme un nigaud banal parfaitement immunisé de la dangerosité de sa femme. Celle-ci pouvait impunément se déployer et faire souffrir autour. Je n’ai jamais su si le propriétaire avait fait exprès de m’emmener dans de tels parages.Finalement je renonçais à partir tôt. Nous en étions somme tout aux approches de minuit. Là aussi le mari me prit en sympathie. Sans doute ce cocu percevait-il que je pouvais être candidat à sa femme. Il me présentât si ostensiblement qu’elle dut tourner la tête vers moi et me traverser d’un regard bleu acier. Une lame ne m’eût pas fait plus mal ou plutôt je savais que j’y laisserais le sang et les viscères. Elle m’adressa un sourire comme si nous étions complices de toujours. Je fus comme répertorié, étiqueté. J’étais une victime, un damné, un ignoble gogo. J’y perçus son mépris.Piqué au vif, je ne pouvais décemment abandonner le champ de bataille. Effronté je fis en sorte de camper ma chaise face à elle ce dont me félicita le mari qui goguenard et regardant sa femme me dit : « Tâchez de la distraire un peu du téléphone. Elle me désespère avec çà. » Je m’empressais de corriger. « Madame n’en faites rien. Je sacrifie aussi au même vice. » J’eus droit à un sourire. D’une certaine façon elle agréait que je lui fus ici comme un chaperon ou un digne sigisbée. Elle me marqua assez qu’elle me trouvait parfaitement inoffensif. Elle était occupée de son amant.Heureusement un vieux con à ma gauche me prit d’amitié et développa avec moi les perspectives de la carrière d’un ténor prometteur. Cette conversation venait tout à propos. Ainsi avais-je tout loisir d’examiner en toute impunité ma cruelle. Elle dut percevoir vite mon intérêt et mon jeu singulier. Cela dut l’amuser. Sûrement put-elle écrire dans un SMS à son amant : « Un type graveleux en face de moi n’arrête pas de me reluquer. » Elle escomptait du coup agacer et rendre jaloux cet amant. Elle crut devoir pour cela joindre les actes à la parole. Elle commença de m’allumer.Il faut préciser un point trivial et vital. La miss arborait ce soir-là une jupe de cuir courte et surtout des bas ce qui ne laissait pas de détoner dans la chaude saison. On lui voyait ostensiblement un morceau de jarretelle et suprême fantaisie, la couleur d’une culotte que personne ne pouvait ne pas avoir vu. Ceci ne semblait pas émouvoir le mari que sa femme put offrir ainsi un tel spectacle. Cela confinait à une certaine indécence voire à de la lubricité. J’étais gênée qu’elle ne s’émut pas que je fus si rapproché d’elle et put plonger plus qu’aucun autre, mon œil entre ses cuisses.En regard les autres femmes qui n’en arboraient pas moins jupe courte, décolleté et autres fariboles paraissent plus chastes car plus convenues. Tandis que j’allais escort tekirdağ quérir une autre boisson au buffet, un convive manifestement envieux de ma position, me jeta : « Vous devez vous rincez l’œil. L’autre salope semble bien s’en réjouir ».Je crus devoir ne pas répondre à l’imbécile et lui tournais hâtivement le dos. Quoiqu’il en soit cette femme semblait faire l’unanimité contre elle. Elle m’en parut plus sympathique et digne d’intérêt. Elle les valait de cent coudées.Je lui ramenais le cocktail qu’elle avait demandé. Entre temps nous avions échangé quelques mots. En effet elle avait cru devoir s’immiscer dans notre conversation apportant des remarques pertinentes sur le toujours même ténor. La garce en un instant avait fait briller son esprit. Elle était de force à soutenir un échange sérieux et profond. Sans crier gare elle avait écouté. Elle n’avait perdu nulle miette de nos propos. J’en fus comme flatté. Peut-être ne me trouvait-elle médiocre ? C’est à ce moment qu’elle décroisa ses cuisses laissant ouvertes celles-ci plus que nécessaire.J’aurais volontiers ne pas regarder si mon interlocuteur en vieil homme vicieux n’avait dirigé son regard vers l’objet séditieux. Il hoquetait. Le débit de sa voix en était affecté. Il perdait le fil de ses pensées. Tel en la parabole des aveugles je fus entraîné aussi dans sa distraction. A mon tour j’examinais plus avant l’objet du délit. Sa culotte était rouge lilas et assez transparente. Elle était gonflée d’une chatte qu’on devinait fournie et fort gourmande. On en devinait le dessein, le relief jusqu’aux poils pubiens. Tout cela sonnait tel une invite. Un mirifique festin était promis.Elle nous observait tous deux avec en coin un sourire ironique. Elle n’en poursuivait pas moins et imperturbablement l’envoi de SMS. L’un d’entre eux pouvant se décliner : « Maintenant un vieux s’est adjoint à mon graveleux. Tous les deux matent ma culotte. » J’imaginais l’amant furieux. S’il avait pu se téléporter, sans doute nous eût-il tous deux botté le cul et jeter dans la mer proche. Je détachais tant bien que mal mon regard de sa chatte. Je bandais. J’en avais honte. Elle devait se réjouir de mon embarras auquel elle ajouta une seconde épreuve.En effet et entre autres péchés mignons j’ai celui de goûter le pied joli d’une femme surtout lorsque celui-ci se prend fantaisie à secouer en son bout un sensuel escarpin. On appelle cela paraît-il dangling. Une femme est quasi assurée de me subjuguer par ce dernier atout de l’arsenal de séduction. Il n’en fallait pas tant pour que je craque et que me fut administré le coup mortel et fatal. Ainsi la garce commença ce ballet. Je vis émerger un pied mignon et non moins puissamment sexuel hors de son escarpin. Il n’était destiné qu’à moi. J’en fus peut-être le seul être hypnotisé.A mon tour avais-je du mal à soutenir am conversation. Le vieux ayant repris ses esprits semblait moins sensible que moi au charme de ce pied si lancinant. Un instant l’escarpin chut dans l’herbe. Je fis effort de ne pas me précipiter pour le ramasser et le remettre au pied de sa propriétaire. J’eus temps de me représenter que seul le prince charmant était habilité à cette tâche : « rechausser la jolie et pauvre Cendrillon. Je n’en étais pas moins agacé que cette chausse fut laissée là jonchée dans l’herbe. La garce manifestement tekirdağ escort bayan ne voulant couvrir son pied impunément offert.Elle tirait sur sa cigarette. Son regard me fixait sans détour. J’en décelais le sens. En mots cela pouvait se traduire par : « Chiche idiot. Ramasse ma pompe. Viens m’en chausser ! » En lâche je ne sus, je ne pus relever ce défi. Je demeurais confit en ma sotte conversation. Le pauvre escarpin abandonné de tous gisait dans l’herbe, cadavre misérable. Je maugréais entre mes dents que je devais donner une leçon à cette garce. Revenant sur mes dispositions précédentes, je décrétais qu’il fallait que je l’att****. Que je la saute. Je ne me défilerais pas.Voulant rompre le charme, je me traînais une dernière fois au buffet. J’en revins peu après. Mon vieux avait disparu. Seul elle demeurait sur la chaise. Elle avait remis son escarpin au pied et rangé ce diable de téléphone. Elle m’adressa la parole sur un ton qui ne tolérait pas l’objection. En gros, elle savait de son mari que je rentrais demain sur Paris. Que mon hôtel divine surprise était proche du leur. Bref elle était fatiguée et son mari répugnait à rentrer dès maintenant. Elle me témoignât que le même mari serait flatté que je la raccompagnasse à leur hôtel.Je ne fus pas dupe du mensonge. Cependant qu’y pouvais-je objecter ? J’acceptais. Elle refusa que j’allasse saluer son mari. Elle proclama qu’elle était pressée. Que cette engeance ici la saoulait. Ne voulant augmenter son exaspération qui montait, je pressais le pas rentrant la tête dans mes épaules. Je devinais qu’on nous observait. Il était indubitable que j’emmenais une salope dans un lieu où je pourrais la sauter. J’étais moyennement glorieux. Peu fier que cet exploit ne put m’être porté à crédit. La garce ayant pris seule l’initiative et précédant mes désirs.Au bout d’un kilomètre elle demanda de m’arrêter sur le bas-côté . Nos lèvres se collèrent. Nos langues se mêlèrent luttant. Je n’avais pas soupçonné en elle une telle lubricité. Elle se ruait sur moi. Je pensais avec dépit que n’importe qui eût fait l’affaire. Qu’elle n’eût pas dédaigné peut-être être prise par plusieurs mâles. Elle me prodigua dans le même élan une pipe toute d’âpreté et de technique, Peu de salopes ont ce don et cette dextérité. Mon doigt désormais désinhibé avait écarté inexorablement le fil du string. Il se baladait à l’endroit du trou pour s’y enfoncer.Elle prit cela comme engagement. Elle se rua dehors s’appuyant sur le capot du véhicule. Elle me jeta : »Prends-moi. Encule-moi ! Ce que je fis tandis que le spectacle de notre furieux coït était parfois balayé des phares ponctués des inévitables klaxons. Sur la côte ainsi n’était -il pas rare que les couples forniquassent au su de tous. Je vis qu’elle adorait. J’en augmentais ma fureur par des coups de boutoirs dans son cul. Elle me dit qu’il serait sage de continuer et de finir dans mon lit. Elle n’avait cure du mari. Il avait l’habitude. Il avait épousé une pute. Il devait l’assumer.Je devais bénir la chance d’avoir été élu pour une nuit. De toute façon elle aurait sûrement jeté son dévolu sur un autre. Elle me concéda qu’elle se voulait venger de son amant. Elle venait de rompre avec lui. Elle se voulait plus pute que jamais. Je pris bien la chose. Un ange ou un démon m’avait été adressé. Cela marquait la fin d’une période. Rien n’empêchait qu’un nouveau cycle s’ouvrit pour moi plus riche et plus glorieux. En tout cas cette nuit j’en pu profiter tout mon saoul. Nous dormîmes peu. Couilles vidées je la vis s’éloigner. Madame allant rejoindre son mari.

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