VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (12)

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VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (12)Il lui déposa plusieurs doux baisers de l’épaule à la naissance de son oreille, elle se sentit défaillir, parcourue de frissons. Il lui embrassa la joue, deux fois, le dernier à la commissure des lèvres.Il la regarda dans les yeux, troublée par l’excitation et la honte elle détourna son regard. Elle sentit ses mains sur ses fesses alors qu’il appliquait sa bouche sur la sienne. Elle se laissa faire, acceptant son baiser. D’abord chaste juste avec les lèvres puis plus impudique quand il força sa langue dans sa bouche. Là non plus elle ne broncha pas, lui répondant même en liant sa langue à la sienne.Le baiser dura longtemps, mais quand elle sentit ses doigts soulever sa jupe, c’est comme si une alarme se déclencha en elle, lançant un programme de sauvegarde. Elle rompit le baiser et s’éloignât de lui d’un bond.« -Heu, René désolée, je crois que l’on s’est égarés. La fatigue et l’alcool nous ont perturbés sans doute. Oublions ce qui s’est passé voulez-vous. »« -Ne sois pas désolée Sophie, j’ai trouvé cela particulièrement agréable pour ma part. Mais restons en là si tu le souhaites, du moins pour l’instant. René se détourna, ouvrit un tiroir d’une commode et lui tendit un petit paquet joliment emballé. Joyeux anniversaire Sophie. » Ce furent ses derniers mots avant qu’il ne prenne l’escalier pour disparaître.Elle l’ouvrit avec précaution et resta pétrifiée par ce qu’elle y découvrit. Elle regrettait déjà amèrement son égarement d’un instant.Le lendemain Sophie se sentit vraiment mal et gênée de ce qui s’était passé la veille. Elle ne comprenait pas comment cela avait pu se produire, pourquoi elle avait cédé à ce baiser. Elle était en colère contre René, contre elle-même et malheureuse d’avoir trahi Paul de la pire des manières.Ne pouvant contenir en elle cet horrible secret, elle décida de tout avouer à son petit ami.Elle le retrouva dans le parc en train de ranger les chaises qu’ils avaient utilisées pour la soirée.« -Bonjour mon chéri, tu as bien dormi ? »« -Comme un bébé et toi ? »« -Non pas très bien, tes parents ne sont pas là ? »« -Ils sont partis acheter le pain et un gâteau pour midi. »« -Ecoute, je dois te parler de quelque chose qui s’est passé hier soir, quelque chose de grave… »« -Ah oui, qu’est-ce qui s’est passé ? »« -Voila, mais sache avant tout que je le regrette sincèrement et que je te supplie de me pardonner. »« -Mais enfin qu’est ce qui s’est passé ? »« -Ton père m’a embrassée. » souffla Sophie morte d’anxiété. Paul resta immobile, le visage neutre comme si il attendait la suite ce qui horripila Sophie.« -Il m’a embrassée sur la bouche, avec la langue et j’ai…, j’ai répondu à son baiser. » Paul fit une moue gênée mais ne broncha pas.« -Oh, ce n’est que ça, ce n’est pas si grave alors. »« -Comment ça ce n’est pas si grave, je te dis que ton père m’a roulé une pelle et toi tu trouves ça normal ? »« -Tu sais bien qu’il t’apprécie beaucoup, il devait avoir un peu bu et il a été emporté dans son élan. »« -Mais c’est n’importe quoi ce que tu racontes. »« – Hé, tu m’as dis toi-même que tu lui as rendu son baiser, c’est que c’était un moment bizarre à la fin d’une soirée c’est tout, ne vas pas chercher plus loin. »« -Et a toi ça ne te fait rien que ton père m’embrasse comme güvenilir bahis siteleri ça ? »« -Mais non, c’était un truc sur l’instant qui n’a pas vraiment d’importance. Ne fais pas une montagne d’une chose si insignifiante. »« -Insignifiante, mais j’ai l’impression de t’avoir trompé, ça me rend malade. »« -Ne sois pas si dure avec toi-même ma chérie, oublie tout ça. »« -Oublier tout ça, mais il m’a offert des sous-vêtements sexy, ce n’est pas juste un égarement de fin de soirée ça. » Paul se figea et son teint blanchit, la gorge sérée il balbutia.« -Il m’a déjà dit qu’il te trouvait très jolie, c’est… c’est un cadeau très attentionné et subtil pour te l’exprimer, c’est tout. »« -Parle moi de la subtilité, c’est carrément lourd et déplacé oui. »« -Et bien dis toi que c’est moi qui en profiterais, voilà. »« -S’il te plaît tu pourras aller lui parler pour que ça ne se reproduise pas. »« -D’accord. » Dit Paul dans une voix tendue.Sophie regarda sa sœur d’un air mélancolique.« -je crois qu’il ne lui a jamais rien dit. Quelques semaines après ça ses parents sont venus manger chez nous, René était assis à côté de moi il sentait l’alcool à plein nez…»Sophie sentit soudain une main rugueuse se poser sur sa cuisse, elle sursauta, Paul et sa mère la regardèrent.« -Désolée, je viens de me rappeler que je n’ai pas éteint la plaque de cuisson. » s’excusa-t-elle en quittant précipitamment la table. Une fois à la cuisine elle fut désemparée, ne sachant quelle attitude adopter. Elle ne pouvait pas faire un esclandre si René recommençait, elle ne s’en sentait pas capable et elle était terrorisée par l’idée d’aller s’asseoir de nouveau à ses côtés mais elle n’avait aucune autre solution alors elle y retourna en s’attendant au pire. Aussitôt assise la main de René se reposa sur sa cuisse. Elle tenta de ne rien faire paraitre, ce qui dut encourager le vieil homme qui se mit à la lui caresser. Elle se figea cherchant du regard un secours vers Paul mais il avait le nez plongé dans son assiette et ne la levait que pour regarder son père qui discutait avec lui. René remonta alors vers son entrejambe et elle serra immédiatement les cuisses, mais il était fort et parvint à poser un doigt sur sa culotte où il caressa le tissu. Elle eut enfin l’opportunité de quitter la table pour aller chercher le dessert, des larmes coulaient sur ses joues alors qu’elle ouvrait le frigo. Elle avait posé le gâteau sur un plat, elle avait une boule dans le ventre à l’idée de repartir dans la salle à manger. Elle sentit que sa culotte lui rentrait dans la fente suite aux attouchements de René, elle la réajusta et s’aperçut à sa grande honte qu’elle était humide. Elle était en plein désarrois, comment son corps pouvait la trahir ainsi. René avait dû constater l’effet qu’il avait produit car il lui adressa un sourire au coin des lèvres à son retour, il avait dû atteindre son but car il ne la toucha plus.Le soir en total désarrois, elle aborda le sujet avec son fiancé.« -Paul, je me sens de plus en plus mal à l’aise avec ton père. Tu lui as parlé par rapport à l’autre fois ? »« -De quoi tu parles, pourquoi tu te sens mal à l’aise avec lui ? »«- Il, il m’a touché la cuisse pendant le repas, je t’avais demandé de lui parler après qu’il m’ait embrassée à mon anniversaire. kaçak bahis Tu lui as parlé ? »«-De ça, heu… oui, il m’a dit que ce n’était pas grave, un petit baiser de rien du tout. Comme on peut en faire dans une… famille. »« -Quoi ! Et tu l’as cru alors que je t’avais dit ce qui s’était passé. »«-Tu avais un peu bu, tu as dû exagérer les faits. »« -Exagérer ! Mais, et ce soir il m’a tripotée sous la table, là non plus tu n’as rien à dire. »« -Et toi pourquoi tu n’as rien dit ? »« -Mais enfin c’est ton père, tu aurais voulu que je fasse un esclandre devant ta mère ? »« -Non mais ce n’est pas si grave, c’est un tactile mon père, il aime bien toucher les gens, ne prends pas tout au tragique. »Après ça j’ai pensé quitter Paul, mais je l’aimais et en dehors de son père tout était si parfait entre nous. Et puis on a plus beaucoup vu ses parents et à chaque fois René s’est tenu tranquille, alors j’ai fini par occulter tout ça.L’année d’après on se mariait, quelques jours avant le grand événement les préparatifs battaient leurs pleins et il y avait plein d’allée et venu à l’appartement. Je suis rentrée un après-midi et j’ai trouvé mon futur beau-père dans ma chambre en train de trifouiller mes sous-vêtements. Je me suis mise à l’insulter, je voulais le virer de chez moi quand il a empoigné mes mains et m’a jetée sur le lit.« -Tu vas bientôt faire partie de la famille Sophie, alors je vais te donner un petit aperçu de ce que ça implique. »Sophie était terrifiée par l’attitude de René et ne résista pas quand il souleva sa jupe et baissa sa culotte. Elle se mit à trembler quand elle sentit son souffle sur son sexe et ne put que le supplier.« -Je vous en prie René, ne faites pas ça, je vous en supplie. »Mais René ne l’écoutait même pas tant son excitation était grande et tant il avait attendu une telle occasion. Il se mit à lécher cette belle jeune chatte avec sa grosse langue rappeuse. Sophie tentait en serrant ses jambes de lui en interdire l’accès, mais il était si fort et sa langue si agile, si experte qu’indiciblement ses muscles se relâchèrent. Elle continuait à trembler et ses yeux ruisselaient de larmes mais elle-même ne savait plus si c’était d’horreur et de dégoût ou de honte et de plaisir. A sa grande surprise elle eut même un orgasme foudroyant et quand René remonta vers elle pour l’embrasser elle se laissa faire en y répondant encore. Mais elle reprit vite ses esprits, se dégagea de lui et s’enferma dans la salle de bain. Au bout d’une heure elle osa enfin en sortir et constata qu’il était parti. Elle pleura longtemps ce jour là, elle était furieuse contre ce salaud, mais aussi contre elle-même. Pourquoi elle avait cette méprisable tendance à lui céder, c’était si antagoniste avec ce qu’elle pensait de lui. Quand Paul rentra elle lui raconta tout.« -Ton père est venu c’est après-midi, en fait il était déjà là quand je suis rentrée et, et il s’est jeté sur moi. »« -Comment ça il s’est jeté sur toi ? »« -Ne fais pas semblant de ne rien comprendre, après tout ce qui s’est déjà passé. » Hurla Sophie dans un torrent de larmes.« -Mais enfin calme toi et dis moi ce qui s’est passé. »« -Il m’a, il m’a prise par les poignets et envoyée valdinguer sur le lit, oh mon dieu, j’avais si peur. Et alors il a… il a enlevé ma culotte illegal bahis et avec sa bouche il m’a… il m’a fait… » Les mots restèrent bloqués dans sa bouche.Paul la prit dans ses bras. « – Calme toi, ça va aller. »Sophie le repoussa violement.« -Comment ça, ça va aller ! Mais tu, tu ne comptes rien faire après ce que je viens de te dire. Tu dois me protéger, je serais bientôt ta femme Paul, ton père doit être puni pour ce qu’il a fait, on doit porter plainte contre lui. »« -Sophie, je comprends que ce qu’il a fait est très grave mais… »« -Mais quoi ? »« -Tu te rends compte du scandale que cela provoquerai, juste avant le mariage. En plus mes parents on payé une bonne partie des frais et ça risque de tout faire annuler. C’est vraiment ça que tu veux ? »« -Non, je veux me marier avec toi ». Souffla Sophie désemparée. « -Alors il faut au moins que tu lui dises que je ne veux pas de lui à notre mariage et que je ne veux plus jamais le revoir. » Puis Sophie se détourna et alla s’enfermer dans leur chambre.Paul était accablé, écœuré par son père et surtout par lui-même. Il se sentait totalement démuni face à ces agissements, tétanisé à l’idée d’affronter René, prêt à tout pour éviter cela, même à ne pas défendre la femme de sa vie. Il se dégoûtait, mais il ne pouvait rien faire d’autre que fuir, qu’agir en lâche.Le jour du mariage arriva, ils n’avaient plus reparlé de cet incident, elle n’avait plus vu René et il n’était pas parmi les convives. Ils étaient passés devant le maire, tout se déroulait pour le mieux, les mariés finissaient de signer les registres et les invités quittaient déjà la salle pour se rendre à l’église. Elle vit Paul parler aux derniers occupants de la salle qui disparurent aussitôt. Le maire l’embrassa et la félicita une dernière fois et s’éclipsa lui aussi, ils étaient seuls dans cette pièce qui était grouillante de monde quelques minutes plus tôt, Sophie trouva cela étrange. Paul lui prit la main.« -Sophie, je sais que tu vas être en colère contre moi, mais il voulait tant se faire pardonner et s’excuser auprès de toi. Il voulait tant être présent en ce jour de fête avec nous. » Acheva t’il en déglutissant difficilement. Le sang de Sophie se glaça en comprenant ce qui était en train d’arriver.« -Paul ne me dis pas que » elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, une porte s’ouvrit et René entra dans la pièce. Sophie était livide « -Non ce n’est pas possible, Paul tu n’as pas pu me faire ça. »« -Allons Sophie, ne prends pas c’est air si tragique, on est de la même famille maintenant et cela aurait été bizarre que je ne sois pas présent aujourd’hui. N’est-ce pas Paul ? » Tonna René en tapant sur l’épaule de son fils. »« -Je lui disais justement que tu tenais à t’excuser pour les malentendus qu’il y avait eus entre vous et que tout cela était fini maintenant, pas vrai papa ? »« -Oui c’est ça, Ha ! Ha ! Ha ! D’ailleurs j’aimerais lui exprimer tout ça en privé, alors si ça ne te dérange pas, dégage d’ici. »« -Paul, tu ne vas pas me laisser seule ici… »« -Ne t’en fais pas Sophie, tout va très bien se passer. Je, je t’attends à l’église. » Bredouilla t’il en s’esquivant. Sophie était atterrée par le comportement de son mari, par sa lâcheté.« -Et ferme la porte en sortant petit ! » beugla René, ce que fit aussitôt Paul.« -Si vous croyez que je vais rester ici avec vous, vous vous fourrez le doigt dans l’œil » dit Sophie en passant à côté de lui.« -Oh si tu vas m’écouter » Gronda René en lui saisissant le bras, ce qui la figea instantanément.

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