ANTOINETTE 2

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ANTOINETTE 2Antoinette et Lydie venaient de finir l’appéritif. Le serveur allait bientôt leur apporter le premier plat.Lydie était complétement subjuguée par le récit de son ancien ami d’enfance.Oubliant toute retenue, elle posa les mains sur les siennes. Un frisson parcouru tout le corps d’Antoinette.- Et alors, qu’à dit ta mère? demanda-t’elle avec impatience.- J’aurais préférée qu’elle dise quelque-chose. Mais non, elle était tellement choquée qu’elle a mis ses mains sur son visage en ouvrant la bouche en grand. Elle est sortie de la chambre en pleurant. Je l’ai juste entendu dire à mon père :”C’est affreux, ton fils est PD!”Mon père est entré à son tour.”Je ne veux pas de tantouse sous mon toit. Quitte cette maison immédiatement. Je ne veux plus te revoir. Tu n’es plus mon fils!”Je suis allé dans ma chambre, je me suis changé et je me suis démaquillé en vitesse.J’ai rassemblé quelques affaires dans une valise et je suis parti.- Au milieu de la nuit? demanda Lydia.- Oh, c’était au mois de juillet. Le ciel était étoilée, il faisait bon.J’ai erré sans but précis pendant plusieurs heures, et j’ai fini par trouver un abri dans un parc. Je crois que j’ai dormi un peu.Le matin, j’ai été réveillé par des joggeurs. Ils me regardaient bizarrement. Ils n’avaient certainement pas l’habitude de croiser quelqu’un avec une valise à une heure si matinale.J’ai repris ma route. J’ai décidé d’aller là ou habitait Laurent LEBARBIER, mon meilleur ami à l’époque. Je pensais qu’il pourrait peut-etre m’heberger quelques jours, le temps que je trouve une solution.-Tu vois qui c’est? demanda Antoinette.-Vaguement. Lui répondit Lydia. “Ce n’était pas vraiment un de mes amis.”Antoinette reprit son récit.- Les gens continuaient à me regarder bizarrement. Certains se retournaient en me croisant. Je surprenais des remarques moqueuses, des petits rires. Je ne comprenais pas pourquoi.J’ai trouvé une cabine téléphonique pas loin de chez Laurent. Et oui, à l’époque il n’y avait pas encore de téléphone portable.Je l’ai appelé et lui ai expliqué la situation. Enfin pas tout à fait. J’ai dit que je m’étais embrouillé avec mes parents güvenilir bahis et qu’ils m’avaient mis dehors, pas qu’ils m’avaient surpris travesti en train de me masturber.Il a aussitôt accepter de m’herberger.Il a été vraiment formidable ce jour là. Il ne m’a pas posé de question.Il venait à peine de prendre son petit déjeuné et était encore en peignoir.- Tu dois avoir faim je suppose? me demanda-t’il.- Oh oui, je n’ai rien mangé depuis hier soir.Il me désigna un placard.- Vas-y sers toi. Tu trouveras tout ce qu’il faut pour manger.Prends tout ton temps, je vais faire ma toilette.Laurent est resté longtemps dans la salle de bain. Enfin en tout cas pour un garçon.J’ai eu tout le temps de me rassasier et j’étais en train de deguster tranquillement mon café, quand j’ai entendu un bruit familier. Le genre de bruit que je reconnu immédiatement et qui me fit aussitôt bander. C’était celui que faisaient des talons hauts sur le carrelage.Laurent portait une petite robe noire avec une ceinture blanche. Ses pieds étaient chaussées d’une superbe paire d’escarpins blancs avec un talon décoré par une fausse fermeture éclair. Il avait mis une perruque courte en carré. Il était parfaitement maquillé et avait recouvert ses lèvres d’un rose bonbon.Il vit ma surprise sur mon visage.- J’ai pensé que tu serais plus à l’aise pour me parler si je m’habillais en femme.Tes parents t’on mits dehors car ils t’ont surpris travesti, n’est-ce pas ?J’ai begayé un oui hésitant.- Comment le sais-tu ?- Tu t’es demaquillé trop vite. Tu as toujours ton mascara. Tu as encore des yeux de biche.Je comprenais maintenant les regards dans la rue.J’ai expliqué en détail ce qui était arrivé.Laurent a posé ses mains sur les miennes. Je l’ai laissé faire.Tout en disant cela, Antoinette enleva une de ses mains que tenait Lydie, et la posa à son tour sur son poignet. Elle n’émis aucune objection quand elle commença à lui caresser le dos de la main avec son pouce.- Laurent me caressait les mains pendant que je parlais. Il m’écoutait avec attention, comme tu le fait maintenant. Il n’y avait aucun jugement dans ses yeux. Au contraire, j’y güvenilir bahis siteleri vis une lueur de désir. Ils pétillaient.Quelques heures plus tôt j’étais un adoslecent comme un autre, et là j’étais devenu un travlo renié par ses parents, avec mon meilleur ami qui me caresait la main tendrement.J’étais mal à l’aise. La situation étaient très troublante.Je pense que Laurent senti ma gène. Il me demanda :- Tu ne veux pas te travestir également? Tu te sentirais beaucoup mieux.Un frisson de désir m’a traversé des pieds à la tête.- J’ai tout ce qu’il faut dans ma chambre. Viens!Le dressing de Laurent aurait rendu jalouse la plus coquette des filles. Il possédait toute une collection de robes, de jupes et de sous-vetements. Mais ce qui m’a le plus attiré, ce sont les étagères remplies d’escarpins, de bottes, bottines et autres sandales, aux talons tous plus vertigineux les uns que les autres.- On a la même corpulence. Mes affaires devrait t’aller sans problème.J’ai choisi une jupe écossaise noir et rose, une culotte et un soutien gorge rose, un chemisier blanc et des mary-jane roses.Alors que je lui demandais s’il avait du coton pour me faire une poitrine…- Il y a bien mieux que cela. Mets ça.Laurent a sorti de son armoire une paire de faux seins en silicone. Il les a agraphé dans mon dos. Ils étaient énormes et je sentais leur poids. La sensation était étrange, troublante. J’avais l’impression d’etre une vrai femme.- Tu ne mets pas de corset? me demanda-‘il.- Je n’ai jamais essayé.- Prends celui-là. En comprimant ta taille, il va faire ressortir ton cul et ta poitrine. Tu auras une silhouette beaucoup plus féminine.Laurent m’aida à le serrer.- Tu n’es pas plus jolie comme ça ?J’avais le souffle un peu coupé.- Si.- Il ne te reste plus qu’à te maquiller.La salle de bain était bien fournie. Je m’enduis les lèvres avec un baton rose fushia. J’en mis une couche épaisse et passa ma langue sur mes lèvres.Laurent m’observait en silence pendant que je me maquillais.- Je vais chercher du travail pour te payer un loyer. lui ai-je dit.- Ne t’inquiète pas pour ça, on trouvera un arrangement.Il iddaa siteleri a posé sa main sur mon sex à travers le tissu.J’ai eu un petit mouvement de recul.Antoine sentit la main de Lydie se crisper sur la sienne. Elle le regardait droit dans les yeux. Elle semblait vivre la scene en même temps qu’il l’a racontait.Elle se tortillait sur sa chaise. Il savait qu’elle était en train de mouiller.Il continua son récit.- Tu ne l’a jamais fait avec un garçon?J’ai secoué la tête.- Ferme les yeux et laisse toi faire.J’ai senti sa main glisser sous ma jupe, ses doigts s’emparer de mon sexe.Bientôt j’ai ressenti une douce tiédeur. Ma queue était plongée dans une grotte chaude et humide.Je maintenais les yeux fermés.La grotte était habitée. Un a****l à la peau légérement rugueuse est venu se frotter contre mon gland. Il me reniflait, me goutait. Allait-il me dévorer?Ma queue enfla sous ces caresses. Elle remplit bientôt complétement la caverne. L’a****l se trouva coincé contre les parois et se mis a tourner dans tous les sens pour se dégager. Ma queue grossit encore obligeant la bete a m’expulser. Elle retrouva la fraicheur de l’air libre. Pas pour longtemps. La bête s’enhardit et sorti à son tour de sa tanière. Elle m’agressa de nouveau en multipliant ses attaques. Une fois elle se frottait tout le long de ma hampe, la fois d’après elle s’attardait sur mon gland, donnait des petits coups sur le frein…Il est même arrivé que mes couilles soient englouties dans l’antre de l’a****l. Il s’acharnait alors dessus, m’arrachant des gémissements de plaisirs.La grotte recracha mes couilles et l’a****l s’attaqua de nouveau à ma queue. Je sentais que j’étais en train de perdre le combat. Je me suis laissé allé. J’ai voulu noyé la bète en inondant son repaire avec mon foutre. Après quelques soubressauts autour de mon gland, elle m’a enfin libéré. Je n’avais jamais connu un tel plaisir.Je rouvris les yeux. J’aperçu pour la première fois la bète alors qu’elle disparaissait dans la bouche de mon ami.Lydie avait serré la main d’Antoinette durant tout le récit. Sa langue passait sans arrêt entre ses lèvres, comme un a****l cherchant à s’enfuir.Laurent s’est relevé et m’a embrassé.- Est-ce que tu as un petit nom de fille ?Je ne m’étais jamais posé la question. Je lui est donc répondu:- Non. Mais pourquoi pas ANTOINETTE?- C’est très jolie. Le mien, c’est… REBECCA.

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