les joies du café

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Big Tits

les joies du cafépetit clip de ce qui m’est arrivé hier matin…Petit café croissant au coin de la rue, au pied de l’immeuble où j’ai mes bureaux. Ce matin ce n’est pas la dame habituelle qui me sert, mais la patronne. Elle est renfrognée, pas l’air commode… Je la vois rarement le matin, elle ne m’a servi que 2 ou 3 fois. Une belle femme, espagnole, un visage fin, avec une expression un peu dure, mais un body language très sensuel. Impossible de ne pas flasher sur son cul, sa cambrure, ses cuisses, ses hanches. Elle n’est pas mince mais diablement sexe…Hier matin elle est en jeans skinny, qui la moulent superbement. Son cul est fascinant et je me laisse fasciner. Je suis au bar, sur une chaise haute, je feuillette machinalement mon journal en buvant mon café, mais je guette chaque mouvement de la patronne pour le plaisir de la voir bouger… elle va et vient, nos regards se croisent à peine, de surcroît elle a vraiment l’air de mauvaise humeur… mais son cul délivre un tout autre message. Lequel message est reçu cinq sur cinq par ma bite, qui est délicieusement bandée. Je suis en rut…Elle continue à s’activer, je continue ma lecture peu convaincue du journal… lorsqu’elle vient vers moi au coin du bar pour me demander si je veux un autre café… je bredouille un “oui avec plaisir” en lui souriant.Je la regarde repartir derrière le bar et s’activer sur mon expresso. Lorsqu’il est prêt, elle refait le tour du bar pour me l’apporter au lieu de me le tendre par dessus le comptoir… Elle le pose devant moi et sa main droit se pose sur le haut de ma cuisse gauche, là où ma bite dure est glissée le long de la jambe. Elle la pose avec précision au bon endroit, elle avait donc remarqué la bosse de mon érection. Elle s’attarde deux secondes, peut-être trois, pas plus, mais pour ma bite c’est déjà une éternité prometteuse. Puis elle repart à ses activités. Il n’y a heureusement pas beaucoup de clients, il est encore tôt, et les rares consommateurs se réveillent avec peine dans un café noir et un journal déprimant… Le ballet des ondulations de son cul reprend de plus belle. Maintenant elle sait que canlı bahis j’aime, et je sais qu’elle sait. Je ne quitte plus ses hanches des yeux, le spectacle de cette croupe ronde, forte, pleine est absolument enivrant. La couture du jeans sépare bien les deux globes et disparaît entre les cuisses, une vraie invitation à y mettre une queue.Tout en restant discret, je ne cache plus trop mon érection, qui est bien marquée le long de ma cuisse dans la flanelle de mon pantalon. Elle repasse à côté de moi et regarde sans complexe la bosse de ma bite, puis me fait un clin d’oeil. Elle regarde ma bite comme je lui regarde le cul… Le jeu est pimenté, j’aime bien. Elle repasse deriière le bar, me fait face, me sourit et se passe furtivement la main sur la chatte entre les cuisses. Ce n’est plus un désir que j’ai entre les cuisses, mais un besoin a****l de m’accoupler. Je sens que mes couilles se sont contractées et durcies et qu’elles sont pleines et prêtes. Je libère un peu le tissu de ma jambe de pantalon, et ma bite se dresse un peu plus, profitant de l’espace supplémentaire qu’elle vient de gagner. Le bord de mon gland est bien marqué dans la flannelle….et comme il est gros et circoncis, il est difficile d’avoir des doutes sur ce qui se passe…La marque de mon gland doit être assez provocante car, quand la patronne repasse vers moi, son regard marque un temps d’arrêt vraiment surpris. Elle sert un client puis vient vers moi, au coin du bar. Elle fait mine de me montrer un article en première page du journal, mais son regard biaise sans arrêt sur ma jambe. Elle se positionne pour que personne ne puisse voir sa main, qui rapidement passe et repasse sur mon gland. Elle s’éloigne…Je n’en peux vraiment plus. Le jeu est délicieux mais je ne tiendrai plus longtemps. Soit j’éjacule directement dans mon pantalon, au bar, soit je m’éclipse au toilettes… j’opte pour la deuxième solution. La porte est à deux pas du bar, je descends de mon tabouret et me dirige vers les toilettes. J’entre dans la cabine et referme la porte. Je défais mon pantalon et ma queue surgit d’un coup. Je la connais bien mais là, elle bahis siteleri m’impressionne quand même, elle est vraiment grosse et bien rouge, la taille et la couleur qui indiquent qu’elle n’est pas loin de gicler. Je n’ai même pas le temps de la prendre en main pour la branler que j’entends des grattements à la porte, instinctivement j’ouvre, la patronne se glisse furtivement dedans sans un mot. L’espace est vraiment petit, nous sommes serrés face à face, ma queue se dresse sans complexe dans l’entre-bâillement de mon pantalon. Elle me plaque sa bouche sur la mienne et tandis que sa langue m’envahit sans retenue, ses deux mains m’empoignent la bite et les couilles. Elle fait courrir ses ongles pointus sur ma queue et sur mes boules, c’est hyper-excitant… je manque de gicler, je suis très sensible des couilles, surtout en érection. Je stoppe sa main à temps. Elle se glisse alors à genoux et passe son visage sous ma bite dressée. Sa langue s’affaire sur mes bourses, sur toute la longueur de mon dard tandis que ses mains massent prudemment les couilles et la queue. Sa bouche effleure mon gland, déjà glissant de pré-sperme, puis l’absorbe et je sens sa langue qui joue avec le petit trou de ma bite. Je lui demande en chuchotant si elle veut me faire jouir dans sa bouche… elle me fait signe que non de la tête…Elle se redresse, s’appuie à la porte et défait son jeans, qu’elle descend à mi-cuisses avec son string… comme je l’imaginais en matant son jeans tout à l’heure, elle a des cuisses fortes et rondes, pleines…. je suis chaviré par sa chatte, qui est naturelle, enfin une femme qui ne s’épile pas…une toison dont s’échappe en pendillant une perle nacrée de sa mouille. Mon reagard descend sur le string qui barre ses jambes à mi-cuisses… le triangle de tissu qui était en contact avec sa chatte est trempé et marbré de grosses traces blanches et épaisses. Je m’assieds sur le siège et avance ma bouche vers sa chatte…elle sent délicieusement fort la femme… je tends ma langue vers le string et je lèche le contenu crémeux du tissu…. puis je remonte vers la chatte et cherche mon chemin du bout bahis şirketleri de la langue, parmi sa toison odorante.Il faut faire vite me susurre-t-elle, et elle se retourne pour m’offrir sa croupe…. une spendeur, large, ferme, opulente, avec des chairs qui vibrent et balancent à chaque mouvement…. une raie sombre, naturelle, qui disparaît entre les cuisses avec de délicats poils sombres qui donnent un avant-goût de la toison plus fournie qui se trouve plus bas… j’y glisse mon nez et ma langue, le parfum est enivrant, dominé par les senteurs de sa chatte, j’écarte ses fesses et passe ma langue sur son petit trou enfoui dans un délicieux duvet…Ne me pénètre pas, dit-elle, on n’a pas de capotes. Branle-toi sur mon cul, je vais jouir dans dix secondes…. je me relève et plaque mon dard brûlant sur sa croupe. Mon gland frotte sur sa chute de reins, mes couilles sont dans la raie de son cul…. elle se masturbe sauvagement en ondulant sa croupe dans tous les sens…. elle me dit qu’elle vient, je ne tiens plus non plus…à peu près en même temps nous explosons le plus silencieusement possible… tanndis qu’elle ondule en cherchant encore des spasmes de plaisir ma queue lâche cinq ou six jets interminables et épais sur le bas de son dos.Essuie-moi un peu mais pas trop, me dit-elle, je veux garder ça sur ma peau aujourd’hui ! C’est vraiment une chaude. J’enlève le plus gros, elle rajuste son pull remonte string et jeans et sort la première. Je reste dans la cabine, la bite encore sauvagement dressée…Je me rhabille, me rajuste et me raffraîchis le visage… puis je rejoins le bar, où personne n’a rien remarqué. Je réalise que notre absence, malgré la longueur et les détails de mon récit, n’a pas duré plus de cinq minutes… Je n’aurais de toute façon pas tenu plus longtemps !!!Je me remets au bar, l’air (presque) de rien….mais un coup d’oeil à l’entour me confirme que personne n’a prêté attention à nous, pas de si bonne heure. Je croise le regard de la patronne, qui me sourit tendrement et me propose un autre…café.Lorsque je quitte le bar, je note rapidement le numéro de téléphone afiché sur la porte. C’est un numéro de portable… Au cours de la matinée je lui envoie un bref “merci, c’était superbe”….et je reçois dix secondes plus tard un bref “à refaire au plus vite et plus complet”…Je vous raconterai

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