Une étudiante à sa fenêtre

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Amateur

Une étudiante à sa fenêtreLa première fois, ce fut accidentel : je sortais de la douche et j’avais noué ma serviette à ma taille. Les seins à l’air, j’ai traversé la chambre et j’ai vu l’homme derrière ses carreaux, au deuxième étage de l’immeuble d’en face. Je me suis cachée aussitôt et j’ai fait en sorte de fermer la fenêtre.Léo et moi, nous avions emménagé dans ce petit appartement depuis deux semaines, à peine. Je n’avais jamais habité auparavant dans un lieu avec vis-à-vis. Je n’avais ainsi pas l’habitude de devoir faire attention à ce que je faisais chez moi. Il n’était d’ailleurs pas rare que je me balade à poil. Nous étions ensemble depuis la terminale, Léo et moi, et nous suivions dorénavant des études, mais pas dans la même fac. Nous n’avions pas du tout les mêmes horaires.La deuxième fois fut également accidentelle. J’étais dans la cuisine, en culotte, les seins à l’air. J’étais en train de préparer mon petit déjeuner et la fenêtre s’est brusquement ouverte dans un coup de vent. J’ai sursauté et j’ai eu le temps de voir le même homme derrière ses carreaux, les yeux rivés à moi. Il avait au moins soixante-dix ans et le crâne dégarni. Des lunettes et un air assez sérieux, pas même amusé par ce qu’il venait d’avoir l’occasion de voir depuis chez lui : une étudiante en culotte.J’ai rabattu la fenêtre en rouspétant après le vent.Non seulement je me promenais en culotte ou à poil, mais il n’était pas rare du tout que je me masturbe en l’absence de Léo. Je le faisais sur mon lit, dans le canapé du salon, mais aussi en matant des vidéos pornos sur l’écran d’ordinateur. Mes thèmes de recherche favoris concernaient les partouzes d’étudiants. Léo ignorait complètement que j’étais attirée par ce sujet, et il ne savait pas non plus que je me branlais quand il n’était pas là. Par contre, nous baisions assez souvent en matant des vidéos, sur d’autres thèmes. Et je savais que Léo n’aurait pas apprécié d’apprendre que les partouzes m’excitaient. Il était très possessif et jaloux. Me voir me faire prendre par un autre mec l’aurait rendu fou, je le savais.C’était mon secret.Jusqu’au jour où, en page d’accueil du site où j’avais l’habitude de me rendre, avant de lancer ma recherche, j’eus le temps de lire le titre d’une des dernières vidéos mises en ligne :Etudiante française se fait mater par son voisin.J’ai eu un bref frisson en découvrant la vignette où l’on voyait une fille qui soulevait son tee-shirt à sa fenêtre. J’ai hésité, en repensant aux deux fois où l’homme en face avait pu voir mes seins.Puis j’ai cliqué sur la vignette. Un écran noir a occupé l’écran et la vidéo a démarré. Elle durait 12mn 20. J’ai coupé le son. J’étais à poil sur ma chaise et j’avais posé une courgette sur la table, en vue de me la mettre dans la chatte et dans le cul en matant des étudiants qui partouzaient, mais je ne m’en suis pas servie tout de suite. Je me suis contentée de me caresser le clito. C’était à la troisième minute de la vidéo. Je me suis surprise à mouiller en voyant cette fille en tee-shirt rose qui baissait très lentement son pantalon et sa culotte dans un même geste, au milieu de sa chambre, le regard tourné vers sa fenêtre ouverte. En face, un homme d’un certain âge l’observait en se branlant. C’était assez bien filmé, tantôt depuis la chambre de la fille, tantôt depuis la fenêtre de l’homme. Une fois que la fille eut enlevé son pantalon et sa culotte, elle s’est mise à se masturber, debout et en tee-shirt, en regardant son voisin. J’ai alors ouvert mes cuisses et je me suis mise deux doigts dans le vagin en murmurant :« Oh putain, la salope… »Mes doigts allaient et venaient, assez violemment, et je savais que je ne mettrais pas longtemps à jouir. Ça n’a pas loupé. Mon corps s’est soulevé d’un coup et j’ai dû masquer ma bouche pour étouffer le cri de plaisir que j’ai poussé. Puis j’ai continué à mater la vidéo, mais en mettant la courgette dans la chatte cette fois-ci. Assez profond, en matant cette fille qui montrait son cul à son voisin à présent.Mais la sonnerie de mon téléphone m’a brusquement interrompue. C’était Léo qui me prévint qu’il sortait de fac plus tôt que prévu et qu’il serait là dans un quart d’heure.J’ai coupé la vidéo, effacé l’historique et éteint mon ordinateur.Puis je me suis faite jouir sous la douche.La troisième fois survint deux jours plus tard, en matinée. Je n’avais pas cours, contrairement à Léo. La veille, je n’avais pas eu l’occasion de revenir voir cette vidéo qui m’avait fortement perturbée. Et ce matin-là, dans mon lit, je me suis masturbée en y repensant. J’allais revenir la voir dans l’heure qui venait, jusqu’au bout cette fois-ci, mais j’aimais bien me branler avant de me lever quand j’étais seule chez moi. Je dormais toujours à poile t j’aimais le faire en me couchant sur le ventre, cuisses écartées. C’est ce que j’ai fait ce jour-là, en repensant à cette fille qui montrait son corps à son vieux voisin.Et j’ai de nouveau murmuré en me branlant :« La petite salope… putain, la petite salope… t’aime ça, hein, montrer ta chatte à ce mec… t’aime ça qu’il voit ton joli petit cul de salope… »Et je me suis anadolu yakası escort soudain arrêtée. On entendait le bruit de la circulation et des voix dans la rue, en dessous de la fenêtre. J’étais là, à poil sous mes draps, le cul ouvert, et l’envie venait de me saisir : il fallait à tout prix que je me montre par ma fenêtre, comme cette fille. J’en avais mal au ventre tellement l’envie m’excitait. C’était risqué cependant, car d’autres voisins pouvaient me voir. A moins que je ne sois pas trop près de la fenêtre. Il faudrait que je trouve la juste distance, de sorte à ce que cet homme un peu vieux puisse être le seul à voir mes seins. Mes seins et ma chatte.Je me suis levée et je suis allée pisser en me caressant un peu. Je me suis rincé les doigts et j’ai réfléchi à une tenue. Après plusieurs essais, j’ai opté pour une chemise un peu longue, à toutes petites fleurs, et un short en jean effiloché que j’avais découpé juste en dessous du niveau de mes fesses, deux ou trois ans avant. Dessous, je n’ai pas mis de culotte. J’ai défait quelques boutons de la chemise et je me suis préparé un café.Ensuite, j’ai ouvert la fenêtre de la chambre en grand, mais l’homme n’était pas derrière ses carreaux.« Et merde… ai-je dit. »Je me suis accoudée avec ma tasse de café et j’ai regardé dans la rue, les voitures, les piétons. Je mouillais et je levais régulièrement les yeux vers la fenêtre qui était pile en face, au même étage. J’ai attendu comme ça pendant près d’une demi-heure. Le temps de me faire un autre café et que l’homme se décide à apparaître derrière ses vitres. J’ai alors fait comme si je ne l’avais pas vu. J’ai continué à regarder dans la rue, à boire mon café, l’air de rien.Puis j’ai posé ma tasse sur le rebord de la fenêtre et j’ai fait deux pas en arrière dans ma chambre, assez pour qu’il soit le seul à pouvoir me voir. Et je l’ai regardé. Fixement, sans sourire. L’air aussi sérieux que lui. Il n’a pas baissé les yeux une seule seconde et cela a dû durer une bonne minute, jusqu’au moment où j’ai défait deux boutons de ma chemise, lentement, sans quitter l’homme du regard. Puis j’ai ouvert un pan de tissu et je lui ai montré mon sein gauche. Un petit peu pour commencer, puis bien comme il faut. Mes nichons ont la forme de poires généreuses qui tombent légèrement, et les aréoles ont un beau diamètre. L’homme s’est mis à me sourire, mais, contrairement au vieux sur la vidéo, il ne s’est pas masturbé. Alors j’ai fini de déboutonner ma chemise et je l’ai ouverte en entier pour qu’il voit mes deux seins. Je mouillais toujours et je n’avais qu’une envie en tête : m’enfoncer ma courgette dans le cul pour jouir comme une petite garce qui se fait défoncer.Mais je n’ai pas été jusque là sous le regard de cet homme. Je me suis contentée de faire sauter le bouton de mon short et de descendre la braguette, millimètre par millimètre, jusqu’à ce qu’il puisse voir les poils de ma chatte.Ensuite, j’ai fermé ma fenêtre et je suis allée me faire jouir quatre fois de suite sous la douche avec mes doigts et mon légume.Le lendemain, j’ai remis ça, en milieu d’après-midi. J’ai mis la même tenue, et cette fois-ci j’ai défait entièrement ma braguette et baissé mon short sous le niveau de mes lèvres. Je me suis caressée et la scène a duré plusieurs minutes. Je ne souriais toujours pas. Et soudain, l’homme a disparu de derrière ses carreaux. Surprise, j’ai arrêté de me toucher. Je me suis sentie assez conne, à moitié à poil au milieu de ma chambre. A tel point que j’ai remonté mon short, puis ma braguette. Et j’étais sur le point de refermer ma fenêtre quand le visage a réapparu en face. L’homme a alors collé une feuille contre sa vitre, et j’ai dû m’approcher un peu pour lire ce qu’il avait écrit dessus, au feutre noir :« Salope »Suivi d’un numéro de téléphone fixe.Je suis restée sans bouger pendant quelques instants, puis je suis sortie du cadre de la fenêtre pour réfléchir en me mordant un doigt. J’avais le numéro en tête. J’ai de nouveau baissé ma braguette et je me suis mise un doigt dans le vagin, doucement. J’étais trempée. Ensuite, je me le suis enfoncé dans l’anus, pas très profond, en me récitant le numéro de téléphone et en imaginant ce qui pourrait se passer, si jamais je le composais. Je me suis enfoncée le doigt plus profond dans le cul, puis je l’ai sucé. Je l’ai remis et je suis revenue à mon vagin, puis mon clito. J’ai nouveau sucé mon doigt et je l’ai essuyé avec mon short.Puis j’ai composé le numéro avec le cœur qui battait à ton rompre dans ma poitrine. Il y eut deux sonneries, puis on décrocha :« Allo. »« Bonjour, dis-je. »« Bonjour. Comment t’appelles-tu ? »J’avalai ma salive et répondis à voix presque basse :« Déborah. »« J’aime beaucoup ce prénom. Moi, c’est Pierre. »Je ne répondis rien et il y eut un petit moment de silence.Puis l’homme reprit :« Tes seins sont magnifiques, Déborah. »« Merci. »« Tu as aussi une très belle toison. Ce n’est pas très courant, il me semble, les filles de ton âge qui ne s’épilent pas. »« Oui, c’est vrai. »Un court silence, puis la voix reprit ataşehir escort :« Dis-moi, Déborah, je préfère le mot chatte au mot toison. Est-ce que cela te choque ? »« Non. »« Dans ce cas, tu as une belle chatte, Déborah. »« Merci. »« Pourquoi me l’as-tu montrée ? Dis-moi… »J’ai de nouveau ravalé ma salive, en cherchant mes mots. Puis je me suis assise au bord de mon lit. L’homme ne pouvait pas le voir depuis chez lui. J’ai dit :« Vous m’aviez déjà un peu vue, accidentellement, et je me suis rendue compte que ça ne m’avait pas déplu, alors… »« Alors tu m’as montré ta chatte. »« Oui. »« C’est bien, dit l’homme. Ça me fait très plaisir et je te remercie pour ce moment très intense. »« De rien, dis-je. »Il soupira dans son combiné et il y eut un nouveau silence. J’en profitai pour glisser un doigt dans mes poils, puis l’homme reprit :« Déborah, apprécies-tu les mots crus ? »Je mis quelques instants à répondre :« Oui. »« Et les mots très crus ? »« Oui. »« Les injures, tu aimes ça ? »Mon doigt s’achemina en lisière de mon clito :« Oui. J’aime ça. »Un court silence, puis la voix murmura :« Tu es un peu pute, Déborah ? »« Oui. »« Dis-le moi. »« Je suis un peu pute. »« Seulement un peu ? »« Non, dis-je en me cambrant pour faire descendre un peu mon short, de sorte à mieux me branler. Je suis pute. »« Tu te prostitues ? »« Non. »« Non, dit l’homme, mais tu es pute quand même. »« Oui. »« Putasse, même, non ? »« Oui, putasse. »« Dis-le-moi encore. »« Je suis une putasse. »« Que fais-tu à cet instant, Déborah ? »« Je me touche. »« A quel endroit au juste ? »« Le clitoris. »« Tu te touches ton clitoris de putasse ? »« Oui, dis-je en me mettant debout pour me débarrasser de mon short. »Puis je me rassis et ouvris grand les cuisses au bord de mon lit.L’homme continua :« Tu aimes notre conversation ? »« Oui. »« Tu veux qu’on continue ? »« Oui. »« Tu te branles, petite putasse ? »« Oui, je me branle. »« Moi aussi, dit l’homme. Ma queue est dure et je répands de la salive sur la fente de mon gland. Tu aimes les bites, Déborah ? »« Oui. »Nouveau silence.« J’ai envie de ta chatte, petite pute. »Je ne répondis pas.Le silence se prolongea pendant un petit moment, tandis que j’agitais un doigt sur mon clitoris, en regardant mes nichons qui vivraient doucement dans le mouvement.Puis l’homme dit :« Est-ce que tu as envie que j’enfonce ma queue dans ta petite moule de pute, sans préservatif ? »J’accélérai le mouvement de mon doigt, sans répondre. J’avais envie de jouir, tout en continuant de parler avec cet homme que je n’avais que derrière ses carreaux jusqu’à présent. Jamais dans la rue. Et je visualisais sa queue et son gland dès que je fermais les yeux. Je me fichais qu’il soit un peu vieux. Il bandait et moi je mouillais.« Non, dis-je. »« Connasse, dit aussitôt l’homme. »Et il raccrocha.Trois secondes plus tard, mon téléphone sonna.« Allo, dis-je. »« Tu es à poil ? dit l’homme. »« Non. »« Qu’est-ce que tu portes sur toi ? »« Ma chemise. »« C’est tout ? »« Oui. »« Tu as enlevé ton joli petit short de salope ? »« Oui. »« Et ta chemise est ouverte ? »« Oui. »« Tu vois tes nichons ? »« Oui. »« J’adore tes nichons. Tu te les touches un peu ? »« Non, je me caresse. »« Tu te caresses où ? »« La chatte. »« Et ton cul, il t’arrive de te le caresser, parfois ? »« Oui. »« Ton anus ? »« Oui. »« Tu t’encules, un peu ? »« Oui. »« Et ton petit copain, il t’encule ? »« Non, ce n’est pas son truc. »« Mais toi, tu aimes ça, qu’on t’encule ? »« Oui, dis-je dans un petit soupir. »Je fis descendre mon doigt entre mes cuisses et me l’enfonçai un peu. Je n’allais pas tarder à jouir.« Tu as encore un peu de temps devant toi, Déborah ? »« Oui. »« Combien de temps ? »« Mon copain rentre dans deux heures, pourquoi ? »« Parce que, dit l’homme. Tu as la possibilité de te rhabiller, de traverser la rue et de venir chez moi pour que je t’encule. Ça ne te coûterait rien de le faire. Tu entres chez moi, on va dans ma chambre, tu te mets à poil et à quatre pattes sur mon lit, je te lèche ton anus de salope et je t’encule. »Je ne répondis pas.Je retirai mon doigt de mon anus pour le sucer, puis je le remis, un peu plus profond. J’adorais faire ça. Souvent, sous la douche, accroupie avec un doigt dans le cul, je pissais, avec de l’eau chaude qui coulait sur mon dos.« Tu es là ? dit l’homme. »« Oui. »« Viens chez moi. »« Non. »« Salope. »Silence.Je suçai de nouveau mon doigt et me le remis profond.« Petite salope, dit l’homme. Mais je ne peux pas t’obliger à traverser la rue. Tu fais ce que tu veux, mais moi il y a une chose que j’aimerais. »« Quoi donc ? demandai-je. »« Fais-moi gicler en me parlant. »« Vous voudriez que je vous dise quoi ? »« Ce que tu aimes, ce que tu fais, ce que tu imagines quand tu te branles toute seule chez toi. Dis-le-moi avec des mots très crus. »Silence.Je retirai mon doigt et enlevai ma chemise.Ensuite je me massai les nichons en regardant ma chatte et mes cuisses bien écartées au bord de mon lit. Je me sentais salope, avec cet homme qui me disait des choses qui me faisaient mouiller à mort.« Fais-moi gicler, Déborah, ümraniye escort s’il te plait, dit l’homme. »J’attendis pour répondre, et il répéta :« Fais gicler mon sperme avec tes mots, vas-y. »Nouveau silence.Je me caressais seulement les poils à présent. Une moto passa dans la rue, suivie d’une ribambelle de gamins agités, quatre mètres en-dessous de ma fenêtre. Un garçon traitait un camarade d’enculé.« Je me fais baiser par des mecs, dis-je. »« Quels mecs ? »« Des étudiants ? »« Que tu connais ? »« Parfois oui, mais souvent je les invente. »« Uniquement des étudiants ? »« Non. »« Qui d’autre ? »J’hésitai un moment. Je n’avais jamais raconté ce genre de chose à personne, y compris à mes meilleures copines.Puis je me décidai à dire :« Des hommes qui m’abordent dans la rue. »« En vrai, ils t’abordent ? »« Oui, ça arrive souvent. »« C’est normal, tu es une très jolie fille, Déborah. Et que te disent ces hommes qui t’abordent ? »« Ils veulent m’offrir un verre et bavarder avec moi. »« Et tu acceptes ? »« Non. »« Jamais ? »« Non. »« Mais quand tu te retrouves toute seul chez toi, tu imagines que tu as accepté, c’est cela ? »« Oui. »« Et ensuite ? »« Ensuite, on fait connaissance en buvant un verre. »« Comment es-tu habillée dans ces moments que tu imagines ? »« Ça dépend, dis-je. Parfois, je porte ce petit short que j’ai aujourd’hui, mais il y a aussi une robe à fleurs que j’aime bien. »« Et dessous ? »« Dessous… J’imagine souvent que je n’ai rien, dessous. »« Oui, dit l’homme, puisque tu es une salope. »« C’est ça. »« Et fais-tu en sorte que les hommes sachent que tu es à poil sous cette petite robe ? »« Ils savent déjà que je n’ai pas de soutif, ça se voit quand je la porte, mais je ne la porte presque jamais, car mon copain ne l’aime pas, parce qu’on voit que je n’ai pas de soutif, et puis elle est très courte. »« Très courte comment ? »« Ben… Si je me penche en avant, on voit tout. »« Ton cul ? »« Voilà. »« Ton cul et ta moule ? »« Oui. »Un court silence, puis l’homme dit :« Et ces hommes, ensuite, ils te baisent ? »« Oui. »« Chez eux ? »« Chez eux ou dans des endroits discrets de la ville. Dans un jardin public que j’aime bien ou derrière des palissades de chantier. »« Tu es à poil quand ils te baisent ? »« Oui, la plupart du temps. »« Tu te mets à poils derrière des palissades de chantier ? »« Oui. »« Tu suces des bites, à poil, derrière des palissades de chantier ? »« Oui. »« Je ne vais pas tarder à gicler, Déborah. »Je ne dis rien. Je m’étais remise à me branler le vagin, tout en parlant à cet homme. Ma chatte était en feu. Moi non plus, je n’allais pas tarder à jouir. J’adorais ce qu’on était en train de faire, car je n’étais pas seule, pour une fois. Je me branlais avec un interlocuteur. Et je savais que je pouvais lui livrer tout ce que j’avais sur le cœur et dans le bas du ventre. Tout. Les meilleures choses comme les pires.« Continue, ma chérie, dit-il. »J’ai soupiré, puis je me suis lâchée :« Je vais sûrement finir par le faire, tôt ou tard. »« Par faire quoi ? »« Me mettre à poil devant un inconnu qui m’a abordée. »« Tu lui montreras tes nichons et ta chatte ? »« Oui, je baisserai ma culotte devant lui et je le sucerai. Je serai à poil et il pourra me demander ce qu’il veut. »« Derrière une palissade de chantier ? »« Ou chez lui, dans une chambre. Ou dans un salon. J’ai envie de me foutre à poil devant un inconnu et de me faire sauter pendant que mon copain est à la fac. »« Oui, tu te prends une queue dans la chatte… »« Oui. »« Sans capote, n’est-ce pas ? »« Oui, sans capote. Je touche sa queue et je masse ses couilles… »« Continue, petite pute… »« Je me fais défoncer le cul pendant que mon copain est en cours. »« Ça y est, je gicle, salope. Ah putain… tu me fais gicler, putain… Ah c’est bon, je gicle… oui, c’est bon… je m’en fous partout… dis-moi encore des mots, petite salope… »« Je me fais sauter par n’importe qui, dis-je en me faisant jouir à mon tour. Oh… Oui, je me fais sucer le cul… Oh… Oh… Oui, une langue me suce le cul pendant que je pisse, putain, oui… Oh… Oh… Oh oui, c’est bon… »L’homme raccrocha.Et j’ai fini par aller le voir, bien entendu. Après avoir discuté trois autres fois avec lui par téléphone, j’ai traversé discrètement la rue et il m’a ouvert sa porte. Je me suis mise à poil devant lui et il m’a sautée.C’est vite devenu une habitude. Il était vraiment aimable, bienveillant, tout en étant très vulgaire, voire odieux. Ça me convenait, je ne demandais que ça. Et je fus très vulgaire aussi. Tous les deux jours, j’allais chez lui et on baisait.Si bien que j’ai fini par ne plus avoir envie de le faire avec mon copain. Je m’ennuyais. Et je l’ai quitté. Sans cesser de voir cet hommes plusieurs fois par semaine, je me suis installée dans un nouvel appartement qui offrait un assez beau vis-à-vis avec l’immeuble d’en face. Rapidement, j’ai surpris des visages qui m’observaient derrière des vitres. Un homme assez âgé, pour commencer, chez qui j’ai fini par aller afin de coucher avec lui. Puis une fille, un soir. Plus jeune que moi. Une fille trop jeune, à vrai dire. Elle m’avait vue plusieurs fois toute nue ou en culotte dans mon appartement, depuis sa fenêtre. Mais c’est elle qui a fini par venir frapper à ma porte. Je préfère ne pas vous dire l’âge qu’elle avait. Je l’ai faite entrer et on a discuté pendant un petit moment. Puis elle est allée aux toilettes et, quand elle est ressortie, elle était toute nue.:::

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