La fille du lac

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La fille du lacLe temps d’un week-end, Nadège avait insisté pour qu’on rejoigne sa sœur Karine, son mari Bruno et leur fils Hugo qui avaient loué un magnifique gîte situé sur un terrain boisé, aux abords d’un très grand lac dont je ne révèlerais pas le nom. Karine était sympathique, bien qu’un peu trop bavarde à mon goût, mais Bruno passait son temps à faire en sorte que tout le monde sache qu’il gagnait très bien sa vie. Il m’agaçait. Quant à Hugo, qui venait tout juste d’avoir 18 ans, je n’avais jamais échangé plus de trois mots avec lui. Mais j’avais fini par céder au souhait de Nadège, car elle s’entendait bien avec sa sœur. J’y suis allé en me disant : ce n’est rien, ça ne va durer que trois jours.Seulement, un imprévu m’attendait sur place, qui se prénommait Anna. C’était la petite amie de Hugo. Elle était un peu plus jeune que lui. En la voyant, je me souviens m’être demandé ce qu’une aussi jolie fille pouvait bien trouver à ce garçon si ordinaire et peu bavard qui passait son temps à consulter son téléphone mobile.Anna était grande et fine, les cheveux longs et raides, blonds aux racines noires. Sa peau était dorée et je me souviens parfaitement de sa tenue au jour de notre arrivée au gîte : un t-shirt blanc orné d’un logo à paillettes et un mini short qu’elle avait dû découper dans un vieux jean fripé. Je me souviens aussi l’avoir regardée de nombreuses fois ce premier soir, discrètement.En fin de journée, nous avons partagé un apéro généreux, puis un barbecue à l’ombre de grands sapins. Les conversations ne m’intéressaient pas, mais je faisais des efforts. Tous les sujets me semblaient tellement convenus et les répliques prévisibles. Dans ces moments où l’ennui guette, je me rabats sur l’alcool et la nourriture. Heureusement qu’Anna était là pour illuminer le temps qui promettait de ne pas passer très vite.Les deux jours qui venaient allaient être radieux et il semblait que le grand lac tout proche valait vraiment la peine. Il disposait d’une très belle plage, de plusieurs bars et restos et d’une multitude d’attractions pour les enfants et les adultes. Il y avait de quoi se divertir, ce dont la sœur de Nadège et son ennuyeux de mari semblaient se réjouir. Ce n’était pas mon cas, mais là encore, j’ai fait un effort pour faire plaisir à Nadège.La journée fut pénible, comme prévu. La plage était envahie de parasols et d’enfants qui criaient. Le lac semblait immense, mais nous sommes restés cloués autour du pôle touristique aménagé, du matin jusqu’au soir, à manger des glaces, à se goinfrer à midi, à bavarder de choses inintéressantes au milieu du bruit et de l’agitation.Mais en milieu d’après-midi, j’ai eu une idée de génie : le lendemain, j’allais me louer un canoé et m’éloigner de tout ce monde grouillant.Quand je l’ai annoncé à Nadège, elle ne l’a pas très bien pris, même si au fond elle savait très bien qu’une journée comme celle qu’on était en train de passer était un enfer pour moi. Alors j’ai réservé mon canoé. Le soir venu, j’ai tout de même dû l’annoncer à Bruno et Karine. Ils ont eu l’air étonné, en premier lieu parce que je n’en avais parlé qu’à Nadège, puis parce que je ne leur avais pas proposé de louer eux aussi un canoé et de m’accompagner. Mais c’était ainsi. Le lendemain matin, je fus le premier debout. J’avais prévu de faire des courses à l’épicerie du lac, de remplir un sac à dos de provisions, puis de prendre le canoé vers 11 heures. J’étais d’excellente humeur, malgré que Nadège m’ait répété plusieurs fois que ça ne se faisait pas de s’en aller tout seul de cette façon. Je m’en fichais. J’avais déjà fait l’effort de venir, puis de me coltiner le couple de sa sœur toute une journée. J’avais non seulement mes limites, mais aussi mes envies. Vers 10 heures, à la fin du petit déjeuner, je me suis levé en annonçant qu’il fallait que j’y aille. Nadège ne m’a pas regardé. Sa sœur m’a glissé un petit sourire pincé et Bruno m’a dit comme ça :« Ils annoncent 29°. Amuse-toi bien. »J’ai embrassé Nadège, j’ai pris mon sac et je suis allé vers la voiture. Puis, au moment où j’ouvrais ma portière, j’ai entendu des pas derrière moi.C’était Anna.Ce matin-là, elle portait un petit débardeur beige uni et le même mini short sur lequel j’avais lorgné maintes fois depuis qu’on était bursa escort arrivé ici. Une bretelle de haut de maillot de bain rose fuchsia dépassait du débardeur.Elle m’a dit :« Ça vous embête si je viens avec vous ? »Il y a des moments comme celui-ci, où il ne faut pas passer une heure à peser le poids du oui et du non. Il faut aller très vite. Y compris si ce qui est en train de se passer vous semble être une forme d’hallucination.Je lui ai cependant répondu bêtement :« Tu veux faire du canoé ? »Elle a haussé une épaule et dit :« C’est bien ce que vous allez faire, non ? »« Oui, mais je vais y passer la journée. »Elle a fait une toute petite grimace et répondu :« Donc, ça vous embête… »« Non, j’ai dit. Tu as averti Hugo que tu voulais venir ? »Elle a de nouveau haussé une épaule :« Il s’en fout, Hugo. Et j’en ai marre de passer des heures au milieu des odeurs de sandwiches et d’huile solaire. »J’ai jeté un regard vers les autres qui étaient tous tournés vers nous, mais qui baissèrent aussitôt les yeux et se remirent à parler.Je suis revenu à Anna :« Il y a deux places sur le canoé, ça ne m’embête pas. »Elle a souri, puis dit :« Cool ! »« Par contre, je l’ai réservé pour 11 heures et je dois faire des courses avant. Je décolle dans trois minutes. »Sur ce, elle a tourné les talons et s’est précipitée vers le gîte.Alors je suis revenu vers les autres qui finissaient de prendre leur petit déjeuner et j’ai dit :« Anna veut m’accompagner. »Pas de réponse de Nadège.Bruno a dit :« Si ça peut lui donner un peu le sourire… »Aucune réaction de Hugo qui, en bout de table, avait les yeux rivés à son téléphone.A l’épicerie, au lieu de trois bières, j’en ai pris six. Une bouteille de vin, de l’eau gazeuse, du pain, du saucisson, une terrine, des raisins secs et un paquet de biscuits. Et quelques autres affaires.Anna est montée la première dans le canoé et j’ai attendue qu’elle se soit installée à l’avant pour pousser l’embarcation et la lancer sur l’eau. Je me suis assis derrière elle et je lui ai dit :« Tu t’es déjà servie d’une pagaie ? »Elle me tournait le dos :« Non. »« Essaye, ce n’est pas compliqué. »Elle a pivoté sur son siège, puis elle a pris la deuxième pagaie. J’avais déjà éloigné le canoé d’une vingtaine de mètres de la rive. Cent mètres plus loin, grâce à mes conseils, elle arrivait à peu près à manier l’accessoire, mais ce n’était pas brillant. J’eus du mal en m’enlever de la tête qu’à cette minute, Nadège m’en voulait non seulement d’avoir quitté le groupe de cette façon, mais certainement aussi d’avoir accepté que cette petite nana vienne avec moi.Je pagayais, sans hâte, et je pouvais difficilement décrocher mes yeux de la fille qui me tournait le dos. De son short, le bas du maillot de bain fuchsia dépassait un peu. Anna avait un superbe petit cul et le bruit de la foule sur la plage avait quasiment disparu derrière nous.Au bout de 500 mètres, elle a sorti sa pagaie de l’eau et l’a reposée dans l’embarcation en disant :« J’en peux plus… »« Ce n’est pas grave, ai-je répondu, on ne fait pas la course. Et au début je devais être seul pour faire avancer ce canoé. »Elle n’a rien dit, alors j’ai ajouté :« Ton copain ne t’en veut pas d’être partie avec moi ? »Elle a haussé les deux épaules et répondu :« J’ai bien le droit de faire ce que je veux. »Dans les minutes suivantes, on ne s’est pas parlé. Je continuais de mater le bas de son maillot qui débordait du short, tandis qu’Anna s’était allumée une cigarette. Elle m’en avait proposé une, mais j’avais arrêté de fumer deux mois auparavant.On n’entendait plus rien autour de nous, à l’exception d’un bateau à moteur, au loin, qui bourdonnait. Et moi je pagayais tout en me disant que ce que j’étais en train de vivre était surréaliste. Quelque chose me disait que Nadège ne manquerait pas de m’envoyer une tonne de remarques le soir à notre retour, mais je m’en fichais. J’avais envie de profiter du présent, c’est-à-dire du lac presque silencieux et de la fille de 18 ans en mini short qui était assise à moins d’un mètre devant moi.Puis, à un moment donné, je l’ai entendue dire :« Il fait chaud. »Et elle a ôté son débardeur.Pour enlever son short, elle attendit un peu. Nous étions alors aux abords d’une crique, loin de tout. J’avais décapsulé görükle escort deux bières et découpé quelques tranches de saucisson, en guise d’apéro.Anna s’est tournée vers moi en disant :« Si jamais je me mets debout pour enlever mon short, je vais nous faire couler ? »Je me suis marré et j’ai répondu :« Non, par contre évite de te mettre debout. Tu pourrais perdre l’équilibre et passer par-dessus bord. »Elle n’a rien dit. Elle a défait les boutons et soulevé les fesses le temps de tirer sur son short. Et là, le bas du maillot a suivi le mouvement, mais pas assez bas à mon goût. J’ai juste vu la raie de son cul le temps qu’elle vire son short et rajuste le maillot.La veille, sur la plage, je l’avais déjà vue dans cette tenue. J’avais pu deviner le dessin de son cul et la forme de ses petits nichons. Ses tétons avaient pointé à un moment donné, en fin de journée, tandis qu’elle sortait de l’eau. J’avais détourné le regard.Et les choses allaient en rester là, j’en étais convaincu. C’était évident. On ne se connaissait pas et j’étais l’oncle de son petit copain. Au mieux, elle allait s’allonger sur une serviette, dans une crique, et je ferais la même chose. Nous discuterions peut-être un peu, mais ce serait tout.J’étais certain de cela, jusqu’à ce que je l’entende dire :« Mais ils sont à poil ? »J’étais en train de découper d’autres tranches de saucisson à ce moment-là, et j’ai mis un temps à suivre la direction qu’Anna pointait du doigt.A cent mètres de là, un couple se faisait bronzer sur le sable d’une crique discrète. Ils avaient déplié un parasol et des serviettes de bain. Ils avaient l’air à poil, en effet, mais c’était peut-être une illusion d’optique. Alors j’ai dit à Anna :« Ben, je ne serais pas étonné qu’il y ait un coin naturiste au bord d’un lac aussi grand. »Elle a pivoté vers moi et fait tanguer le canoé.Puis elle m’a dit :« Vous n’avez pas des jumelles ? »« Je ne suis pas certain qu’ils apprécient que tu les mates aux jumelles. »Elle n’insista pas.J’avais bien une paire de jumelles dans mon sac à dos, mais je me voyais mal autoriser cette fille à les pointer vers ces gens qui avaient l’air si tranquille dans le coin où ils s’étaient posés.Anna a seulement dit :« Ça doit être trop cool de se mettre à poil ici. »Je lui ai tendu deux tranches de saucisson. J’en ai pris deux aussi, puis j’ai repris ma pagaie. La dernière phrase qu’elle avait prononcée tournait en boucle dans mon esprit, et on s’éloignait à présent de ce couple qui se faisait bronzer tout nu dans un endroit discret.J’ai retourné cent fois la question dans ma tête, car je savais qu’elle aurait des effets. J’ignorais lesquels. Tout dépendait de la réponse. Mais j’ai fini par me jeter à l’eau, si je puis dire, car l’expression « à poil » venant de la bouche de cette fille m’avait donné une érection.Je lui ai posé la question :« Tu aurais envie de te mettre à poil, Anna ? »Elle a bondi sur son siège et s’est retournée pour dire :« Ça vous choquerait ? »Elle était loin du compte. Ça ne me choquerait pas, ça me bouleverserait littéralement. Je me suis contenté de lui répondre :« Ne t’inquiète pas, j’en ai vu d’autre. Et puis dans un endroit pareil, je comprends ton envie. »J’ai pagayé encore un petit moment, en quête d’une autre crique où l’on pourrait aborder. Nous étions loin du monde. Nous n’étions nulle part. Dans mon esprit, Nadège s’était évaporée. Et tout le reste avec : hier et demain. Je n’avais plus qu’une chose en tête : Anna qui se mettait à poil en ma présence, dans un endroit tranquille, au bord de ce lac.Elle a commencé par son soutif.De mon côté, j’avais tiré le canoé sur le sable et j’étais en train de sortir deux autres bières de mon sac. Ensuite, en me tournant le dos, elle a enlevé le bas. Puis elle venue vers moi et a enfoui les deux pièces de son maillot dans son petit sac, en me disant :« C’est vraiment trop cool. »Sa chatte était lisse et elle avait de fines lèvres. Ses seins étaient ronds, très fermes. Je bandais à mort, mais contrairement à elle, je n’avais rien enlevé de ce que je portais, à savoir un t-shirt et un jean.Elle a pris sa bière, puis elle s’est approchée du rivage. Il n’y avait personne en vue depuis ici. Et moi je matais son petit cul. Dans l’intervalle de ses fesses, bursa escort bayan je distinguais le volume de ses lèvres. Anna était à poil à quelques mètres de moi et elle buvait une bière.Quand elle est revenue vers moi, ce fut pour s’accroupir sans chercher à dissimuler son entre-cuisse, ni ses petits nichons, prendre du saucisson et un bout de pain, puis me dire :« Il ne faudra pas le dire aux autres, par contre. »J’ai répondu :« Ton copain n’apprécierait pas ? »« Non, il est trop coincé. »J’ai penché la tête sur le côté :« Pourtant, il n’a pas cherché à te retenir de partir avec moi. »« Non, a-t-elle dit. Il a des trucs plus importants que moi à penser, mais il n’aimerait sûrement pas quand même. Il me gonfle et je m’ennuie. Je ne vais pas tarder à le plaquer. »Elle s’est relevée devant moi avec sa bière.Ce corps, bon sang, j’ai pensé. Cette chatte sous mes yeux et cette jolie paire de nichons.Je lui ai répondu :« Je ne dirai rien, ne t’inquiète pas. Ça reste entre nous. »Elle m’a remercié en souriant et on a cogné nos deux bouteilles.Et c’est ici qu’elle m’a dit :« Et vous, vous restez habillé ? »J’ai baissé les yeux vers mon pantalon, puis je les ai relevés :« Ecoute, Anna. Si je me déshabillais aussi, tu constaterais que ta nudité est loin de me laisser indifférent. Je suis désolé. »Elle a souri, puis pris une gorgée de bière avant de dire :« J’en ai vu d’autres, ne vous inquiétez pas. Ça ne me choquera pas. Et si vraiment ça dure, on trouvera bien une solution. »« Une solution ? »« Oui. Pour que vous arrêtiez de bander. »J’ai bu à mon tour, ébloui par la vision de sa jolie petite chatte.Puis j’ai dit :« A quoi tu penses ? »Elle a levé les yeux au ciel, comme pour y puiser des mots, puis, en me regardant dans les yeux, elle a répondu :« On n’aura qu’à avoir une relation sexuelle. »Je suppose que je suis monté rouge.Je suppose qu’il en fallait peu pour que mon érection ne fasse sauter les boutons de mon pantalon.Je suppose que j’ai mis un temps à me remettre, mais je ne m’en souviens plus exactement.J’ai fini par lui répondre :« C’est une solution qui me plait. »Quelques secondes plus tard, je n’avais pas fini de me déshabiller qu’elle s’était déjà couchée sur le sable de la crique pour ouvrir ses cuisses. Je me suis mis à genoux devant elle et j’ai approché ma queue de sa petite moule. J’ai frotté mon gland contre ses lèvres pendant quelques secondes, puis il s’est enfoncé dans sa chatte. Je l’ai retiré et je l’ai remis.Anna se caressait les seins en observant ma queue.Je n’ai pas cherché un seul instant à vérifier si on nous observait depuis le lac, depuis un autre canoé ou d’ailleurs. J’étais en train de pénétrer la chatte d’Anna et je savais que je ne tiendrais pas longtemps. Alors je me suis retiré à deux reprises pour lécher sa moule, puis son anus. Je l’ai trouvé pimenté et salé. Elle a adoré.Ensuite, je lui ai remis ma queue et j’ai sucé un de ses tétons. Elle a passé une main dans ma nuque, puis sur mon dos en disant :« J’aimerais bien vivre ici, dans une petite cahute qui donnerait sur le lac. On se promènerait tout le temps à poil et vous me feriez l’amour trois fois par jour. »Je me suis retiré et je me suis branlé au-dessus de son pubis qui était luisant de sueur. La première giclée a atteint ses seins et elle s’est aussitôt mise à étaler le sperme sur sa peau. La deuxième s’est nichée dans le creux de son nombril et la troisième a goutté sur sa chatte pendant un moment, jusqu’à ce qu’Anna approche ses doigts de mon gland pour le palper et effleurer la fente. Et là, une dernière décharge m’a secoué tout le corps et j’ai hurlé dans cette petite crique.Une heure plus tard, elle m’a sucé et je l’ai enculée.J’ai déchargé au bord de sa langue cette fois-ci.Peu avant de repartir de cette petite crique paradisiaque, j’ai tenu à lui sucer encore le cul, puis à glisser de nouveau ma bite dans sa petite chatte. J’ai déchargé juste au bord, juste à temps.Je n’ai jamais su ce qu’elle était devenue, ensuite, après avoir plaqué Hugo. Elle ne m’a laissé aucun signe, aucun contact. Elle s’est évaporée. Je n’ai jamais raconté cette histoire à personne. C’est un secret. Je ne voudrais pas qu’il y ait de problème dans la famille.Mais, tous les ans, j’insiste auprès de Nadège pour qu’on revienne au bord de ce lac. J’y loue des canoés, tout seul, et j’observe des nudistes dans des criques avec mes jumelles. Des fois que j’apercevrais une jeune femme à cheveux longs et au corps très mince qui y aurait construit une cahute.

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