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Saphir, ma troisième soumise.Il y a peu près trois ans, une nouvelle employée est arrivée dans mon magasin.Je me souviens parfaitement de ce jour où elle m’a été présentée. Son regard et son sourire espiègle en disait long sur elle et ses petits seins qui pointaient sous son tee-shirt dénué de soutien-gorge me rendait déjà fou!Les premiers jours il y eu des regards sans équivoque et toujours agrémentés de sourires en coin. Tout de suite j’ai pensé à cette expression qui définie si bien ce genre de femme: “elle a les yeux qui sentent la bite”. Ai boit d’une semaine nous avons commencé à parler et il ne fallut pas attendre longtemps pour dériver sur le sexe. Elle semblait avoir beaucoup à dire mais malgré ses allures coquines, elle jouait la fausse timide et ne m’en dit pas plus malgré ma curiosité. Pourtant, elle insista pour avoir mon numéro de téléphone prétextant que c’était pour m’envoyer des liens sur les sujets dont nous avions parlé juste avant. Bizarrement, je ne la crus pas et lui donnais mon numéro en sachant très bien quelle en était la vraie raison.Effectivement, le soir même, je recevais mon premier texto de Saphir. Je m’en souviens comme si c’était hier tant il m’a marqué:”Coucou, ça va? Ta journée s’est bien fini? Excuse ma curiosité mais ce midi nous avons parlé de fantasmes sans rentrer dans les détails mais j’ai cru comprendre que tu n’en manquais pas. Tout comme moi d’ailleurs. Est-ce que ça ne te dérange pas de m’en dire plus, ça m’intrigue.”Voilà Un message pour le moins explicite!Je ne m’étais donc pas trompé sur elle et je ressentis à ce moment là une extase toute particulière. Déjà pour le fait qu’une femme s’intéresse à moi, mais surtout qu’elle me parle direct de sexe alors même qu’on ne se connaît qu’à peine.J’ai su tout de suite que je pouvais lui faire confiance et je lui ai répondu que mes fantasmes étaient essentiellement les jeux de soumission hard, humiliants et que j’aimais abuser des femmes comme des objets sexuels. Je lui fis part de mes deux expériences passées avec mes soumises et finis mon message par la question qui m’intéressait le plus de savoir chez elle:”Et toi, es-tu soumise?”Sa réponse ne fut pas longue à arriver.”Oui, me répondit-elle. D’ailleurs j’attends depuis longtemps l’homme qui saura me dominer”.Elle rajouta dans un second message.” J’ai un fantasme depuis longtemps: signer un contrat de soumise pour être l’objet sexuel d’un homme qui saura me dresser en bonne soumise que je bahis firmaları suis. Mais cela me fait un peu peur malgré tout.”Je ne pu m’empêcher de lui dire que moi même n’ayant jamais fait signer quoique ce soit, cela ne m’a pas empêcher de vivre mes fantasmes de soumission en toute confiance avec les différentes soumises que jai eu. J’avais pour idée de l’emmener peu à peu dans mon monde et qu’elle se lâche. Je voulais voir à quel point son désir de soumission pouvait aller.Pour cela je l’invitais a venir boire un verre chez moi pour discuter de cela tranquillement lorsqu’elle serait disponible.Comme elle avait déjà un copain, ce ne fut pas simple de se coordonner. Pas qu’elle avait peur de le tromper mais elle n’avait pas de voiture ce qui ne simplifiait pas forcement les choses.Pourtant un jour elle m’indiqua par message qu’elle passait non loin de chez moi et qu’elle pouvait me rendre visite si j’étais chez moi.Comme c’était le cas je lui répondis que je l’accueillais avec grand plaisir.Lorsqu’elle fut arrivé chez moi, la conversation s’orientat naturellement vers le sexe. Pour elle le plus excitant était de donner du plaisir à un homme quelque soit les pratiques. Elle n’avait aucun tabous et me confiait aussi que depuis peu elle avait un fort penchant pour le sexe oral. Fellation bien sûr mais aussi et surtout l’anulingus qui me disait-elle, la faisait mouiller énormément. Elle voulait aussi découvrir l’uro et souhaitait se faire sévèrement humilier par les mots. Elle rajouta que le SM n’était pas forcement sa tasse de thé d’où sa peur d’être entièrement soumise. Je la rassurais en lui faisant part également du peu d’intérêt que je portais au sexe trop brutal mais que j’aimais les fessées et les pincements des tétons.Après quelques minutes à échanger sur nos pratiques, une osmose était en train de nous gagner. Nous sentions comme une alchimie entre nos corps qui se désiraient et s’appelaient mutuellement.Je lui demandais:”Veux-tu être ma soumise, sale pute leche-cul?-Oui, je veux être ta pute, te lécher le cul et la bite et te vider les couilles.Très bien dis-je, mais avant tu vas m’accompagner aux toilettes et goûter à ma pisse. Comme ca tu pourras faire ton baptême de soumise.Je la pris par les cheveux et la tirait vers les toilettes. Malgré une légère résistance dû à la surprise de ma demarche, elle finit par se laisser entraîner dans les chiottes. Je lui collais le visage contre la cuvette des toilettes et commençais kaçak iddaa à uriner dans la cuvette. Quelques projections lui aspergeait la joue et lorsqu’elle semblait accomodée par la situation, j’orientai mon jet vers ses lèvres. Au début, un peu dégoûté elle recracha, mais plus son visage s’innodait de pisse et plus elle ouvrait la bouche pour déguster mon liquide doré. Lorsque j’eu terminé, je l’invitais a se nettoyer avant de me rejoindre dans le salon.Je m’étais déshabillé et commençais à me masturber en l’attendant. Furtivement elle s’était éclipsée dans la salle de bain. Je pensais alors qu’elle prenait une douche mais n’entendis pas couler l’eau. Peu de temps après elle ressorti, nue et toute disposée à moi.Je lui ordonna:”Fous toi à quatre pattes sale pute et viens vers moi!”Elle s’exécuta. Comme une bonne chienne docile, elle marcha jusqu’à mon entre jambe. Son visage s’était d’un coup rempli d’une émotion certaine et je su quelle m’appartenais et que je pourrais en faire ce que je veux.”Leche-moi le cul, puisqu’il paraît que c’est ce que tu aimes, salope! Je vais voir à quel point tu es une bonne lèche-cul!-Oh oui putain j’ai trop envie, me repondit-elle!”Et d’une langue gourmande et assoiffée, elle vient me brouter mon cul avec une envie qui dépassait même mes espérance.Jamais encore une femme et une de mes soumise auparavant n’avait mis autant de coeur à l’ouvrage pour cette pratique qui me rend dingue!Elle sucais, léchais, crachait avec tellement de ferveur et de passion que je cru qu’elle voulait m’aspirer l’anus. Elle n’avait pas menti. Elle aimait vraiment ça et cela se voyait!Je ressentais pour la première fois un réel plaisir anal qui cumulé à mon érection puissante me fit prendre conscience d’un plaisir encore insoupçonné chez moi.Lorsqu’elle s’arrêta un instant pour reprendre son souffle, elle me chuchota lougoureusement: ” il est bon ton cul, tu me donne trop envie de me branler tellement ça m’excite.Oui vas y sale chienne, branle toi comme une pute en manque de cul, ça m’excite aussi.”Alors qu’elle commençais à se masturber, je compris à quel point elle étais en chaleur. Elle commença à pousser des gémissements si intenses que je devinai qu’il ne lui en faudrait pas beaucoup plus pour qu’elle se fasse jouir. Comprenant cela, je l’arrêtai pour qu’elle redescende un peu et profiter encore.”Tu veux jouir, sale pute soumise? Lui lançais-je méchamment.-Oui, j’en peux déjà plu tellement j’aime te bouffer le cul, me kaçak bahis repondit-elle.-Ok, mais ce sera quand je le déciderais et à ma manière.-Tout ce que tu voudras, me lacha t’elle en sueur.Je la pris par les cheveux et l’allongea sur le dos. Je la regardai un instant et pouvais jauger que son état dexitation était à son paroxysme. Elle gesticulait dans tout les sens, ne tenait plus en place comme une droguée en manque de son met préféré. Elle continuait de se branler de façon addictive pour me faire comprendre que j’étais sa chose, son objet.Je m’asseyai donc sur son visage en lui bloquant les bras grâce à mes genous de façon à se qu’elle ne pût se libérer du joug que je lui imposais. Orientée face à sa chatte dégoulinante, je maintins une pression forte de mes fesses sur sa bouche et qu’ainsi elle n’eut aucune autre possibilité de me lécher le cul. Elle sembla apprécier puisque je compris instantanément que la position lui procurait une adrénaline supplémentaire à en juger par les cris plus puissants quelle dégageait. Pour moi le plaisir était total! J’avais toujours rêvé d’utiliser une femme et lui faire subir ce genre de traitement des plus humiliants. Bien entendu, je continuais à l’insulter copieusement pour lui rendre son statut de petite soumise comme un dû. Les allées et venues de sa langues semblaient stimuler comme jamais mon érection. La jouissance s’annonçait consistante et abondante! Pour elle aussi car elle n’en pouvais plus déjà et me demanda.” Je vais jouir, je ne tiens plus!-vas-y, jouis sale pute et après je te giclerais sur ta gueule de sac à foutre.”Cette dernière parole fut le juge de paix de nos ébats. Sans attendre plus, elle poussa un cri haletant à la fois grave et aiguë que je n’oublierai pas. Comme une libération de plaisir qu’elle n’avait sans doute pas eu depuis longtemps. Ainsi, moi aussi incapable de me retenir plus longtemps, je lui crachats mon foutre sur ses lèvres, sa bouche et partout sur son visage. Il y en avait un quantité comme j’avais rarement vu. Mon sperme coulait encore et toujours comme un robinet ouvert. Elle fut même surprise de voir à quel point je pouvais avoir autant de sperme à lui offrir. Elle ne s’en plaignait pas d’ailleurs et je pu constater qu’il ne restait plus beaucoup de partie de son visage non souillé de ma délicieuse semance.Ce fut un moment unique et inoubliable pour nous. Rarement j’ai pu sentir une telle connection et une complémentarité de nos fantasmes et envies. Comme si cela était naturel et instinctif. Nous savions désormais que notre relation n’avais rien d’hasardeux et nous nous quittâmes ce jour, dans l’espoir de revivre au moins une fois cette expérience.
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