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Le mai 68 d’un soumis qui s’ignore encEté 1968. J’avais alors 12 ans. Les événements de mai 68 firent que cette année là, les vacances scolaires durèrent 3 mois ! Un été chaud et exceptionnel dans tous les sens du terme. Trois mois de soleil, de piscine et de découverte du corp des femmes pour le gamin que j’étais alors. A part le merveilleux postérieur débordant du maillot une pièce d’une monitrice qui nous encadrait à la colo de l’été précédent, je n’avais jamais vu un corp de femme dénudé. Je me branlait alors allégrement en imaginant les seins et les chattes poilues de certaines de mes profs voire de certaines filles de ma classe. Mes copains avaient beau se vanter, je pense qu’ils en faisaient de même…Ma vie bascula lors des vacances scolaires lorsque je découvris que les parois des cabines de déshabillage de la piscine étaient toutes percées de trous. Visiblement, certains voyeurs s’amusaient à mater les gens se déshabiller. Je ne sais pas pourquoi mais je me dis alors qu’il devait s’agir de vieux pervers qui devaient mater les jeunes ados car je ne voyais pas personnellement dans ma grande naïveté de l’époque, l’intérêt de se mater entre garçons !Toujours est-il que cette découverte fût pour moi une révélation ! Tout de suite l’idée me vint que les deux rangées de cabines de filles devaient être également percées de trous identiques…Dès lors, je m’arrangeais pour abréger mes séances de baignades pour partir plus tôt afin d’aller passer un moment dans les cabines des filles. Quelle émotion et quelle montée d’adrénaline lorsque pour la première fois, je pénétrais et m’enfermais dans une cabine de filles. Comme je l’avais pressentis, les parois de la cabine étaient perforées des deux côtés ! J’attendis avec impatience ma première “victime” qui ne tarda pas à entrer dans la cabine.Je fus surpris de l’angle de vue que l’on pouvait avoir à partir d’un aussi, minuscule trou ! En bougeant un peu la tête, on avait une vue quasi totale de la cabine. Je me rendis vite compte que c’était une adulte qui venait d’entrer dans la cabine. Elle devait avoir à vue de nez, une trentaine d’années, c’est-à-dire, quasiment une “vieille”.Je frémissais d’impatience à l’idée de voir glisser son maillot une pièce le long de son corps. L’instant tant espéré arriva et je découvris enfin ma première touffe de poils féminine ! Quel choc ! Avec mes frères, nous nous bahis firmaları étions déjà procuré, je ne sais comment d’ailleurs, des magazines érotiques mais à l’époque la censure supprimait tout poils et les femmes ressemblaient à des poupées sans sexe.Cette première toison très brune, épaisse et broussailleuse débordant largement sur les cuisses de la dame me marqua à jamais. Il faut bien dire qu’à l’époque, cette mode ridicule et saugrenue de s’épiler le pubis n’existait pas. Pas même la moindre épilation aussi minime soit-elle, du maillot. A l’époque, il était courant de voir des poils déborder des maillots des femmes sans que ça ne choque qui que ce soit et surtout pas les hommes ! Depuis ce jour, il m’est impossible de m’imaginer une femme sans poil. Cette première chatte poilue m’a tellement marqué que j’en oubliais totalement de mater ses seins. Ce n’était pas grave car tout au long de l’été j’eu l’occasion d’en voir de toutes les tailles et de toutes les formes possibles ainsi que des chattes toutes poilues sans exception ! De tous les styles : brunes, blondes, rousses, châtains, brouissailleuses, luxuriantes, clairsemées, frisottantes, aux poils longs et fins, lèvres roses émergeant de la touffe, lèvres sombres et mystérieuses, vulves bombées et gonflées ! Et toutes ces paires de fesses ! Tous ces culs de formes diverses et variées !Parfois certaines filles ou femmes se rendaient compte qu’elle étaient matées et mettaient une serviette devant le trou mais pas toutes. J’ai parfois croisé des regards interrogateurs, en colère, parfois amusés. Mais les regards qui m’ont le plus marqués parce que rares, ce sont les regards de femmes fixants le trou et mon oeil pendant toute la durée du déshabillage et du rhabillage ! Des regards hautains, arrogants voire ironiques et moqueurs… Des regards tellement pénétrant que je me reculais parfois, intimidé et gêné… Certaines en profitaient alors pour approcher leur oeil du trou et c’était moi alors le maté. Je voyais cet oeil inquisiteur fixer et observer mon corps nu (car je me mettais nu pour me branler), fixer ma petite bite raide et courbée vers mon nombril, puis remonter vers mon visage comme pour bien mémoriser les traits de mon visage. Je me sentais alors honteux et gêné, apeuré à l’idée qu’elles allaient me dénoncer ! Je me sentais alors à leur merci et c’est certainement ces femmes kaçak iddaa ou filles là qui me révélèrent le pouvoir des femmes sur les hommes et surtout sur moi. C’est ces femmes là qui me firent me sentir inférieur et me révélèrent ma soumission envers elles, soumission qui était en moi depuis toujours…Il arriva deux ou trois fois que certaines en sortant, informent leurs copines en parlant fort exprès : y’a un p’tit merdeux qui était en train de se branler en matant mon cul ! Je les entendais s’éloigner en riant à pleines gorges… Une seule, une fois m’a interpellé de l’intérieur de sa cabine. Elle était toujours entièrement nue et passait sa serviette entre ses cuisses pour s’essuyer, en écartant sa vulve avec deux doigts. Elle avait des lèvres sombres, presque noires, une touffe envahissant ses cuisses et remontant vers son nombril. La raie des fesses aussi poilue que celle d’un homme !!“J’espère que ça te plait le spectacle !” Elle se mit à se tortiller et a simuler une érotique danse du ventre… Cette fois ci, je pris mon courage à deux mains et continuais à mater. Fier de mon acte de courage, je me mis à secouer ma petite queue comme un fou. Je me branlais si fort que ma main tapait sur la paroi, et faisait ricaner la belle danseuse dont je voyais le cul par intermittence, vibrer et trembloter à chaque ondulation des hanches larges…Soudain, sans que je n’ai rien vu venir, à part un léger basculement en avant de son bassin, un jet puissant gicla en direction du trou m’arrosant l’oeil, ce qui me fit reculer brutalement et tomber en arrière !Elle continua à pisser abondamment. Elle avait dû se rapprocher du trou et la pression était telle qu’un jet pénétrait dans ma cabine et m’arrosait le buste et la bite ! Elle me criait d’un ton menaçant et convaincant, qu’elle allait appeler le maître nageur… Je sentis un fort taux d’adrénaline m’envahir et je dois l’avouer, une certaine appréhension pour la suite des événements. Il se produisit alors un événement qui ne s’est jamais reproduit par la suite, dans toute ma vie.Alors que les jets d’urine avaient cessés et que je me frottait les yeux brûlant d’urine, ma bite se mit à gicler abondamment dans tous les sens, tant les spasmes de mon bassin était saccadés. Je me sentais honteux et la peur m’envahit de nouveau. Je jetais malgré tout un regard craintif vers le trou et je vis l’oeil goguenard kaçak bahis de la danseuse me fixer intensément. Le temps me parut interminable…Eh bé ! Elle est pas grosse mais elle gicle fort ta petite quéquette, pauvre p’tit branleur ! Allez sauves toi, sauves toi avant que j’appelle le maître nageur ! Je me relevais et sortis affolé de la cabine. Soudain, je me rendis compte que dans la panique, je n’avais pas remis, ni même ramassé mon maillot. Un groupe de filles attirées par les cri de ma pisseuse m’entouraient. Elles se mirent toutes à ricaner quand elles me virent nu. C’est la que je me rendis compte que j’étais à poils… je me précipitais dans la cabine récupérer mon maillots et ressortis précipitamment. Mon torse et mon bas ventre maculés de sperme et d’urine commença à attirer les regards. Elles se mirent à ricaner encore plus et deux trois saintes nitouches poussèrent des cris de dégoût en me traitant de sale petit dégueulasse !L’une d’elle m’arrache mon maillot des mains se protégeant derrière le groupe pour m’empécher de lui reprendre. Entre temps la danseuse – pisseuse qui avait remit son maillot, sortit de sa cabine. Elle comprit la situation quand elle vit les autres me narguer, se passant entre elles mon maillot de bain et le cachant dans leurs dos. La scène dura à peine une minute qui me paru une éternité. Enfin la danseuse réclama le maillot et le frotta énergiquement sur mon bas-ventre et mon torse, pour l’imbiber de mon sperme et de son urine… Puis s’en me laisser le temps de réagir, elle me l’enfila sur la tête et me couvrit le visage avec. “Allez sauves toi sale petit merdeux de voyeur ! Vas cacher ta p’tite bite ! Allez dégages p’tit branleur !” Je ne pris même pas le temps de remettre mon maillot et je déguerpi, la queue toute recroquevillée entre les jambes, sous les quolibets de toutes les filles, je couru vers le parking, ou je me savais en sécurité. Inutile de dire qu’aujourd’hui encore, lorsque je me remémore cet événement, mon pouls s’accélère et ma bite gicle en un temps records ! Ce jour fut pour moi, la confirmation de ce que je ressentais depuis ma petite enfance. C’est-à- dire mon plaisir à être dominé et humilié par les femmes. Ce sentiment ne m’a plu quitté depuis. Ce Jour là je compris que les femmes sont supérieures aux hommes. En tous cas, les hommes comme moi leurs sont inférieurs. J’ai mis des années à l’accepter et grâce à mon épouse actuelle, à l’assumer et le vivre bien…bien sûr, avant de rencontrer ma femme, j’ai vécu d’autres expériences de soumission/humiliations que je raconterais dans de futurs textes… A suivre…

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